Georges Ladeuille (promotion 56 60) n'est plus. Son camarade de promo, Émile Delcroix nous en fait part

Désolé de terminer 2018 par une mauvaise nouvelle de plus.


Georges ( GEO ) LADEUILLE , notre copain de promo 56/60 est décédé cette semaine. Comme je l'ai dit par texto à Daniel et J-Marie : " Tenons-nous fermement à la barre pour continuer notre chemin... "
Émile Delcroix


Marcel Laisne, normalien au début des années 60, puis professeur à l'école normale de Douai jusqu'à la fin des années 80


Marcel Laisne a été longtemps professeur à l’école normale de garçons de Douai après y avoir été élève-maître au début des années 60, ainsi qu’à l’EN et l’Université de Lille et . Il a quitté le nord à la fin des années 80 pour s’installer en Haute-Loire et finir sa carrière à l’IUFM de Clermont-Ferrand. Il est mort en 2007. Ses copains de promotion 59-63 et 60-64 étaient Michel Pagniez et Daniel Payen et ont continué de le fréquenter après leur sortie d’EN, comme nous le confiait sa fille qui nous a fait parvenir toutes ces photos. Nous aimerions avoir des anecdotes ou des souvenirs de ceux ou celles qui l'ont connu soit comme camarades de promotion soit comme élèves maîtres ayant assisté à ses cours.





Marcel Laisne

Marcel Laisne en 1961 avec Daniel Lemoine
Moment de détente dans le parc avec ses camarades de seconde


Moment de détente à l'occasion du repas

En internat
Marcel Laisne à la guitare



Marcel à la guitare avec son camarade Daniel Lemoine


Marcel Laisne et Daniel Lemoine à la guitare dans l'orchestre de l'école normale pour le bal traditionnel


Marcel Laisne en 1961-62  en concert
De gauche à droite Michel Pagniez, Daniel Lemoine



Marcel Laisne en 1961 62


Marcel Laisne à droite en plein jeu théâtral sous la commande de Paul Dumont
Marcel Laisne au centre au  cross de Wagnonville
Voyage de fin d'année avec Daniel lemoine





Marcel Laisne au foyer

Dans le bus qui les emmène au voyage de fin d'année



En bus

Ambiance dans les dortoirs
Dans le cadre des échanges avec l'AWF de Wroclaw et Poznan, lors d'une réception en mairie de Waziers en 1979-80, Marcel Laisne est assis à droite, cette fois en tant que professeur




Marcel Laisne a poursuivi ses études à l'EN et l'Université de Lille avant de revenir comme professeur dans son école normale d'origine

Claude Trécherel, professeur à l'ENG de Douai pendant près de 30 ans



Claude Trécherel, professeure de lettres modernes à l'école normale d'instituteurs de Douai pendant près de 30 ans, y a laissé le souvenir d'une passionnée de lecture, animant stages et formations pédagogiques dans le but de partager cette passion auprès des normaliens afin qu'ils la transmettent à leur tour aux écoliers. Dans la coupure de presse ci-dessous, on la retrouve en train d'animer un stage de formation continue consacré à la lecture justement. "Savoir lire pour savoir vivre, tout un programme...





Claude Trécherel a été admise à l’ENI d’Arras à 14 ans, quittant ainsi Courrières et le bassin minier au début des années 60, puis elle est devenue professeur de lettres modernes à l’école normale d’instituteurs de Douai vers 1970, jusqu’à la fin des années 90. Elle a terminé sa carrière en IUFM à Rennes et Saint-Brieuc, se rapprochant ainsi de ses racines paternelles en suivant son mari dans l’académie de Rennes. Elle était toutefois restée très attachée à l’école normale de garçons et restait en contact avec nombre de collègues : Michel Chère, Franck Montuelle, Francine Malexis.
Elle a arpenté toutes les routes du département, en défenseure acharnée de la lecture. Elle avait pleine conscience de ce qu’elle devait à l’école et à sa façon, elle s’est toujours pleinement engagé à former des instituteurs investi et des enfants heureux d’apprendre. Elle nous a quitté brusquement le 10 octobre 2016, trop vite, trop tôt. Sa fille, qui nous a confié des photos d’elle et cette coupure de la Voix du Nord, souhaite qu’on garde d’elle le souvenir de son engagement et de son intégrité, ainsi que son sens de la non compromission.
Si certains d’entre vous se souviennent d’elle, nous aimerions qu’ils se manifestent et nous envoient leurs anecdotes.


Voici quelques photos prises à l'ENF d'Arras puis à l'ENG de Douai qui vous aideront peut-être.


ENI d'Arras, Claude Trécherel, dernière rangée 3è en partant de la droite


ENI d'Arras, 1961 Claude Trécherel, dernière rangée, 4ème en partant de la droite


ENF d'Arras, 1961




ENF d'Arras, mars 1961


ENF d'Arras, le 10 janvier 1963, Claude Trécherel, première à droite


ENG de Douai, au foyer de l'ENG, année scolaire 82-83 dans le cadre d'un échange culturel avec l'AWF de Wroczaw, Claudine Trécherel, 3ème à partir de la droite


Vos réactions sur Facebook :

Annie Consille Elle nous suivis longtemps à l'UFM et dans les classes d'application... que de bons souvenirs

Géry Quennesson

Je me souviens très bien de Claude Trécherel. D'ailleurs, j'étais stagiaire dans la formation relatée dans cet article, à Escaudoeuvres. A l'issue de ce stage, j'avais lancé les élèves de ma classe unique dans l'écriture d'un roman qui fut primé à Paris au salon du livre : "Le poilu a disparu" !

L'oeuvre des nôtres : José Herbert, "L'instituteur impertiment" (promo 60-64)

Directeur de l’école à deux classes et secrétaire de mairie pendant presque 30 ans à Wambaix, l’un des plus petits villages du Cambrésis, José Herbert a vécu ses deux métiers avec passion. Il nous livre ici ses souvenirs sur un ton drôle et tendre, toujours impertinent. Comment faire classe à quatre tranches d’âge en même temps ? Comment concilier travail d’école et travail de mairie ? Séquences pédagogiques, portraits et situations pittoresques, joies et peines des enfants à l’école, anecdotes savoureuses s’enchaînent et plongent le lecteur dans une saine nostalgie.
 Date de sortie : 14 février 2019 Contact : José Herbert




José Herbert tient également 2 blogs où vous pourrez retrouver l’ensemble de son oeuvre et ses activités en tant qu’écrivain, participant à des salons littéraires et des séances dédicaces dans toute la région.

http://leschiensdepavlov.centerblog.net/

http://lamessebleue.centerblog.net/

Un Challenge du nombre qui méritait bien son nom à Wagnonville, par Gilbert Kesmaecker (61-65)

Un après midi de l'année scolaire 61-62, sans qu'on s'y attende , toute la promo et même les classes de premières ont  été amenées au cross de Wagnonville, un bled  du côté de Cuincy.
On devait participer au "challenge du nombre".
Un truc abominable avec des bosses , de la boue , des bois, de la neige...
Dire qu'on y allait avec le coeur serait un gros mensonge, en fait on ne savait même pas de quoi il s'agissait.
L'article de presse ne relate absolument pas la réalité : ceux qui avaient un maillot à large bande noire étaient les bleus de 61-65, le maillots avec deux bandes noires était celui de la 60-64.


Le grand balèze à gauche sur la photo du dessous , en maillot plus foncé, me semble bien être Alain Mixte (61-65)
Pour ma part, je suis désigné par la flèche 61.

Ce cross a eu lieu aussi l'année suivante, les copains qui avaient compris le truc , se sont contentés de faire le minimum pour franchir la ligne d'arrivée dans un état de fraîcheur acceptable, certains  se sont même planqués dans les bosquets pour ne pas arriver dans les premiers , laissant passer le gros de la troupe.
Ce n'était même pas la volonté du moindre effort, mais ils avaient compris qu'il y avait les "recruteurs" de l'EN : MonnardJoly.... pour étoffer l'équipe de cross du bahut en décelant les jeunes talents,  ce qui , pour cause d'entraînement, condamnait probablement la sortie du jeudi après-midi  pour les " heureux élus".

C'est ainsi , que j'ai fini 9ème à ma grande surprise vu les dizaines de cossmen en herbe qui me précédaient, ce qui me condamnait à quelques entraînements le jeudi après-midi  puisque sélectionné dans l'équipe de cross de l'EN


Gilbert Kesmaecker (Promotion 61 65)

Un contrôle de solfège mémorable en 1963 à l'école normale d'instituteurs de Douai

C'était en Sciences Ex 63-64


Comme j'ai vu sur le blog, qu'on parlait musique à l'occasion, je crois que c'est bien dans l'esprit, même si cet article a déjà eu droit au bulletin il y a quelques années
 


En 1964 la promo 61-65 était fortement représentée dans l’orchestre, c’est ce qui a permis le tour de passe-passe que je vais vous narrer.

La dictée musicale constituait un exercice aisé pour les initiés, redoutable pour les profanes, d’autant plus que la note était le plus souvent l’une des seules attribuées dans la matière pour le trimestre, elle avait donc une part prépondérante dans la moyenne figurant sur le bulletin.

On avait donc décidé, dans la classe, de rétablir une certaine « équité ».

Jean Sablé, notre prof de musique, lui aussi membre de l’orchestre, avait été remplacé momentanément, devant effectuer un stage ou quelque chose comme ça.

Sa remplaçante, dont je ne me souviens plus le nom, se mit donc en devoir de nous confronter à la terrible épreuve.

Pour la circonstance, et en l’absence de Sablé , nous avons donc mis en place un stratagème qui s’est avéré très efficace.

Dans la classe il y avait quatre musiciens dont trois membres de l’orchestre. La dame ne nous connaissait pas.
Chacun se plaça donc à la première table, muni du nombre de feuilles correspondant aux nombres d’élèves de la rangée avec leur nom.

Et le fastidieux exercice commença.

Et chaque premier de rangée de répéter : « pouvez recommencer m’dame ? On n’a pas bien entendu »
Et la brave prof de remettre ça à chaque fois, égrenant consciencieusement  les notes au piano.
Pendant ce précieux temps gagné, chacun des quatre larrons remplissait les feuilles des élèves de toute la rangée…en laissant quand même une faute de temps en temps pour faire plus vraisemblable.

L’exercice terminé, il ramassa les feuilles de sa rangée et les substitua à celles qu’il avait remplies.

Les notes se sont échelonnées entre 20 et 17 !!

Je laisse imaginer les cris et les manifestations de joie de la prof, ébahie devant une telle classe de surdoués musicaux.

A son retour, Sablé s’est franchement marré, car il nous connaissait bien et il ne croyait pas aux miracles.
Il a tout de suite compris qu’il y avait eu un truc pas très clair….mais on ne lui a jamais dit lequel !

Je n’arrive pas à avoir de remords pour ce qu’il faut bien appeler une tricherie, car je pense qu’on a persuadé cette dame que sa pédagogie musicale était irréprochable, d’une fantastique efficacité, et avons contribué certainement à l’épanouissement de sa vocation.

Et, après tout, après plus de quarante ans !  …….Il y a prescription !!

Gilbert Kesmaecker  (61-65)

L'oeuvre des Nôtres : Stéphane Tréla (promo 56 60) a publié "Coutiches La Correspondance de nos soldats pendant la Grande Guerre



Lors de notre dernière rencontre, à l'occasion du banquet annuel de notre amicale, le 8 avril 2018, Stéphane avait arboré avec humour son étui à serviettes marqué de son matricule ENG 356 S TRELA. C'est dire s'il est attaché à tout ce qui se rapporte à l'histoire, la grande et la petite... Il a exercé presque toute sa carrière comme professeur d'histoire géographie au collège de Waziers. Il a déjà publié en tant qu'historien érudit dans la Revue du Nord et notre blog s'en est fait l'écho à plusieurs reprises, comme vous pouvez le constater en cliquant sur son nom 





Coutiches. La correspondance de nos soldats pendant la Grande guerre


Les historiens estiment à 30 milliards le nombre de courriers échangés entre les soldats et leur famille, amis, voisins, connaissances et camarades de combat durant les quatre années de la Grande guerre. Lors de la bataille de Verdun en 1916, la poste avait à acheminer quotidiennement 2 millions de lettres.
Plus modestement, des familles coutichoises ont conservé pendant cent ans 370 lettres de cette époque.
Le livre de Stéphane Tréla présente l’étude des lettres et cartes de poilus où adresser à eux. De nombreuses reproduction in extenso et citations permettent de bien appréhender la vie militaire de nos mobilisés pris dans le tourbillon d’une guerre qui les dépasse et qui fauche cinquante-quatre jeunes hommes dans la fleur de l’âge.

Stéphane Tréla. Livre format A4, 297 pages. ISBN 978-2- 9544971-3-6 (contact : 716 route nationale 59310 Coutiches)

(cliquer sur la photo pour l'agrandir)




Voici un extrait de la plaquette sur le monument aux morts de Coutiches et son histoire. Où l'on apprend que les premiers monuments aux morts en France ne datent pas de la première guerre mondiale mais bien avant. C'est à découvrir dans l'article ci-dessous : (cliquer sur la photo pour l'agrandir)





L’originalité de notre monument aux morts


Au lendemain de la Grande Guerre, la France se couvre de monuments commémoratifs : 30 000 entre 1918 et 1935.
Architectes, sculpteurs, marbriers, fondeurs, démarcheurs de tout poil rivalisent de zèle. Ils  assiègent les municipalités pour la construction d’un monument aux morts de la guerre. Le plus pauvre des maires n’oserait refuser ! Il y a des enrichissements indécents.
Le meilleur côtoie le pire. C’est souvent un poilu à l’allure martiale, en pleine attaque, dans une posture grandiloquente. 
La commémoration du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918 est l’occasion de rénover les monuments aux morts . On voit certaines municipalités prises dans zèle patriotique, peinturlurer leur poilu de garance, de bleu, maquiller de toutes couleurs le visage dans un excès de réalisme. Une commune voisine a carrément doré son monument. La pierre brute, le bronze naturel restent le plus bel aspect de ces monuments dans le respect du souvenir.
Coutiches n’a pas attendu l'hécatombe de la Grande guerre pour honorer la mémoire des soldats tombés au champ d’honneur.
À l’époque de cet engouement national, notre village possède déjà son monument depuis 20 ans. L’authentique construction du XIXe siècle échappe ainsi à la représentation quasi unanime d’un poilu combatif ou mourant pour la Patrie dans des statues pas toujours de bon goût.
Notre monument respecte les propositions de Lucien Bonaparte, Ministre de l’Intérieur de l’empereur Napoléon 1er, qui recommanda en 1800 l’érection de colonnes à la mémoire des braves, les soldats morts au combat. Proposition fort peu suivie mais réalisée ici à Coutiches cent ans plus tard.
Ce qui nous vaut cet obélisque d’une sobriété de bon aloi qu’un récent éclairage réussit à mettre en valeur le soir tombé. L’érection en 1900 explique la place des inscriptions. Ainsi figure sur la façade principale donnant sur la place, non pas les noms des soldats tombés dans en 1914-1918 comme partout ailleurs mais ceux de Crimée, de 1870-71 et des premières guerres de conquêtes.
Les noms de ceux de la Première Guerre mondiale sont gravés sur le côté sud puis sur le côté est.
Les conflits suivants ont ajouté leurs soldats, les résistants et les victimes civiles. Les anciens d’AFN ont préféré une stèle du souvenir, indépendante, placée au niveau du sol à droite du monument.
Notre monument aux morts est bien une exception dans la région.

Stéphane Tréla


La Voix du Nord de Douai a consacré un article à Stéphane Tréla :



Le Conseil d'administration de l'amicale des anciens normaliens de Douai s'est réuni à nouveau pour préparer son bulletin annuel. Didier Delécolle, secrétaire nous en fait un résumé succint


Compte-rendu du Conseil d’Administration du  21 novembre 2018


 Présents : 

S. MARCINKOWSKI, M. BONFILS, P. MAJOWSKI, D. DELÉCOLLE, A. CARRÉ, M. WENCEL, J-M. DEVAUX, A.LÉGER, A.PRUVOST, C. LELIÈVRE, B. COGET
Excusés : G. VIENNE, R. FACON, M. DESPRETZ, J. LEDOUX, M.RADOUAN

Accueil du président

- Stéphan Marcinkowski donne tout d’abord la parole à Michel Wencel pour une mise au point quant aux frais d’affranchissement du courrier (envoi du bulletin). Ces frais étant trop élevés, un devis sera demandé à l’ETHAP, association qui imprime le bulletin. Si celui-ci s’avère également trop élevé, l’envoi du bulletin se fera comme auparavant, c’est-à-dire ave mise sous enveloppe par les membres du CA et affranchissement normal.
- Le président indique ensuite que l’ordre du jour sera entièrement consacré à la préparation du prochain bulletin. La modification des statuts sera donc à l’ordre du jour du prochain CA.

 Préparation du bulletin N° 117

 - Sommaire lu par le président.
- Appel aux promos
- Compte rendu de l’AG 2018
- Photos du l’apéritif des retrouvailles et du banquet
- Liste des présents au banquet
- Retrouvailles 64-68
- Retrouvailles d’octobre
- 200e anniversaire de la naissance de Jacques Offenbach
- 150e anniversaire de la mort de Lamartine
- Souvenirs, souvenirs…
- Dictée de l’AMOPA de l’Avesnois
- Page des patoisants
- « Histoire des punitions » et « Brève histoire des cours complémentaires »
- Carnet de famille
- Bulletin d’adhésion

Questions diverses


- Faut-il ou non continuer d’envoyer le bulletin à ceux qui ne sont pas à jour de leur cotisation ? Un courrier leur sera adressé lors de l’envoi du prochain bulletin.
- Nécessité d’obtenir un numéro de SIRET
- Le bulletin sera envoyé aux camarades de promotion d’André Pruvost.
- Date de l’AG pour l’amicale fille : dimanche 7 avril.  A ce propos, plusieurs membres du CA évoquent la possibilité d’un regroupement garçons – filles lors du repas. Contact sera pris avec l’amicale filles pour savoir si elles confirment la date du 7 avril 2019.
- Prochaine réunion du CA le mercredi 16 janvier 2019 à 14h au lycée d’Excellence.

Prochaine réunion du CA le mercredi 16 janvier 2019 à 14h au lycée d’Excellence..
           Le secrétaire D. DELÉCOLLE

Un petit coucou d'un de nos vétérans, Michel Delannoy de la promo 48 52, né le 16 Novembre 1932. Il est, avec Jean Dujardin et René Maquet, fidèle à notre assemblée générale et se promet d'en être en 2019 si ...


Je me suis connecté à facebook ( je ne  l’étais pas)  et j ai eu beaucoup de plaisir à tout parcourir ; il y a  un moment je t’avais envoyé  2 articles :" j avais 17 ans  en 1950 " et" hommage au peuple polonais"
que je n ai pas retrouvés , tu m as aussi pris en photo  lors de Assemblée générale 2018  Ce n'est pas grave , merci , amitiés 

    MICHEL DELANNOY   48- 52 


ps : Comment vas-tu ? ? Pour ma part, je réponds : pas encore  meu-meu et je me meus encore ! (humour !!) Au  28 avril ! ( si Dieu (?)  le veut !!

Pour l'aider dans ses recherches, voici les deux liens du blog qui le concernent directement puisqu'il en est l'auteur :


https://engiufmdouai.blogspot.com/2013/05/on-nest-pas-serieux-quand-on-17-ans-et.html


https://engiufmdouai.blogspot.com/2013/05/coup-de-coeur-de-michel-delannoy-promo.html

Les partitions de Jean Bacquet par Vincent Crosetti (68 73) Hommage à ce professeur vraiment exceptionnel


Suite à l’envoi de sa photo de promotion 68-73, avec l’espoir que certains s’y reconnaissent et l’allusion faite dans son message à Jean Bacquet, professeur de musique dans les années 60-70, Vincent Crosetti a retrouvé ces partitions écrites de sa main et qu’il a gardées précieusement en signe de « profond respect et d’admiration pour  l’influence décisive pour moi, et bien d'autres je suppose, dans le domaine musical … »

Voici une anecdote très significative des qualités pédagogiques et de la grande culture de ce professeur :

 « Souvenir vivace au cours d'un entretien où je présentais une sorte de "monographie" personnelle sur le compositeur Erik Satie dont il n'en fut pas parlé mais plutôt de ... blues et de rock !!! Inoubliable !!! Enfin, j'ai gardé, depuis, la grande majorité des partitions réalisées par lui-même et qu'il nous confiait avec une certaine "gourmandise" et un immense plaisir sans aucun doute ! Ce fut un vrai et pur bonheur !!! »













« Voici quelques exemples de partitions "marquantes" parmi tant d'autres (que je n'ai pas toutes conservées ... hélas), réalisées par lui-même et de mains de maître si j'ose dire ! Monsieur Bacquet a été de près (chanson française, musique classique voire traditionnelle renaissance etc...) ou de loin (jazz puis rock dit progressif par extension ...) à la base même de mes divers "univers musicaux" depuis maintenant cinquante années ... C'est donc avec une immense et sincère émotion que j'ai appris sa disparition il y a quelque temps !

Que dire de plus car étant un peu "flemmard" du clavier et préférant la "parole directe" peut-être au  06 81 22 13 60 ou vincent.crosetti@gmail.com  ...
PS: Je suis un "local" étant natif de Sin-Le-Noble !!! » 

Vincent Crosetti (promotion 68 73) nous fait découvrir une photo de sa classe de Seconde C2 en 1968. Qui se reconnaîtra ?




Malgré tous mes efforts et une bonne mémoire (mélodies et textes de dizaines de chansons depuis cette époque... Merci Monsieur Bacquet !!!) je ne peux "situer" que quelques uns ...
À savoir :
*second rang de gauche à droite:
De Potter (deuxième)
Chieux (troisième) 
Klimanek Jean Claude (?) (sixième)
Noblet (dernier)

Puis, dans le désordre :
Ladrière , Lagatie, Baratte, Dubois, Bertin, Bodin, Dutto, Berton, Dufour, Glowacz, Denis, Hecquet, Duval, Salez, Joly, Delvaux, D'heygère, Guillaume, Duterte, Bourdais, Boidin ...
et moi-même premier à gauche du troisième rang en haut ...

Amitiés normaliennes

Vincent Crosetti



Gilbert Kesmaecker, promo 61-65, réagit à la publication d'un compte-rendu de conseil de discipline de l'ENF d'Arras en 1959 et cite son exemple personnel afin de montrer la stupidité du motif de la convocation de ce conseil et de la décision prise à l'issue de la réunion


Voici d'abord le document en question :









Le document relatif à la discipline à l'EN de filles en 59 a retenu toute mon attention :

Une malheureuse normalienne s'est fait sanctionner pour avoir été "surprise" en compagnie d'un garçon
J'ai connu ma future épouse, normalienne  en 61 à l'EN , elle avait 16 ans et moi 17.
Ses parents ont reçu une lettre dénonçant ses agissements de dépravée.
Nous n'avons jamais rien fait de mal, et elle s'est fait descendre en flammes par les "censeurs" et moralistes de l'ENF.
L'épisode que je raconte nous a causé un tort considérable, notamment auprès de la famille de mon épouse.
Ça a fait du dégât.
Nous avons surmonté tout ça contre vents et marées, mais nous n'avons jamais oublié l'épisode même si on est septuagénaires

Et quelle hypocrisie !!!
Combien de normaliens on épousé des normaliennes ?
Combien ne normaliens ont flirté avec une normalienne ?
Si on faisait la liste on serait surpris.

Quand on veut éviter les élans du coeur entre ados, on ne place pas une école de filles entre une école de garçons et une caserne.

Je dirai aussi que la mentalité à l'ENG n'était quand même  pas la même qu'à l'ENF.

J'ai également été "surpris" par Joly dans le parc de Douai, main dans la main avec ma future épouse.
Le lendemain, dans un couloir de l'EN, il m'a rencontré par hasard, il m'a dit avec un grand sourire "Alors?  On s'intéresse à la botanique maintenant ?...Fais pas le con hein !!!"
Et ce fut tout !!!

Joly, on l'adorait, il était gentil et humain, il nous comprenait, vraiment un gars bien !!
 Je terminerai en disant que nous sommes mariés depuis 52 ans, nous avons eu 4 enfants et avons 6 petits enfants
Ce n'est en tout cas pas grâce aux jésuites de l'ENF

 Gilbert Kesmaecker, promo 61-65



Nous ne résistons pas au plaisir de publier en illustration l'article paru dans le quotidien La Voix Du Nord, il y a 2 ans, consacré aux noces d'or de Gilbert et Suzanne :

Samedi ont été célébrés à la mairie de Téteghem les noces d’or de Gilbert et Suzanne Kesmaecker. Un événement pour ce couple natif du bassin minier et arrivé à Rosendaël dans les années 1950.
Après un premier baiser échangé à l’école normale de Douai en 1961, ils ont ensuite exercé une bonne douzaine d’années le métier d’instituteur(trice) avant de prendre la direction des écoles du centre du village de Téteghem: élémentaire pour Gilbert, maternelle pour Suzanne. Mariés le 15 juillet 1967, ils ont eu quatre enfants et se réjouissent désormais des moments partagés avec leurs six petits-enfants.
Membre fondateur de l’US Téteghem Football, Gilbert est également musicien au sein du Big Band de Paul Garein et président de l’orchestre Destination Tango. Passionnée par les arts plastiques, Suzanne est quant à elle vice-présidente de l’Association Culture Art Matière de Leffrinckoucke.




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