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vendredi 7 mai 2021

"Pépère " et le père Fouettard, par René Maquet, doyen de l'amicale des anciens normaliens de Douai. Une anecdote au sujet de Monsieur Hickel, le directeur, et de Monsieur Viseux, l'intendant

Nous avons sollicité nos plus anciens camarades, les doyens de la promotion 48 52, afin qu'ils nous racontent un peu leur quotidien sous la direction de Monsieur André Hickel, directeur de 1941 à 1956. Leur réponse n'a pas tardé sous la plume du toujours aussi pétillant René Maquet.

René Maquet



"Chers camarades,

Je vous adresse une première anecdote. Je vous en ferai parvenir d’autres si vous le souhaitez. Je vous laisse le soin de contrôler l’orthographe et la sémantique. À 90 ans, je dois avoir souvent recours au dictionnaire, au Bescherelle, à la grammaire… Je ne me vexerai pas si vous me signalez quelques incorrections.

J’ai profité de l’occasion pour éclabousser au passage l’intendant, il trouvait toujours le moyen de nous soutirer de l’argent.

Nos chaises étaient en bois ; comme elles étaient soumises à de gros efforts, il nous arrivait de temps en temps de les enfourcher à l’envers, le dossier à l’avant, les mains sous le siège, nous les faisions danser en ronde par secousses répétées, nous appelions cette distraction : la cavalerie allemande. Il faut dire que notre promo n’était que la cinquième d’après-guerre. Les chaises, disjointes , parfois cassées , étaient réparées par le menuisier attaché à l’école, son épouse était concierge. Ils habitaient la petite maison à gauche de l’entrée par la grille de l’allée Parent où se trouvait la statue d’Hercule terrassant le lion.

L’intendant nous faisait payer la réparation de notre chaise au prix qu’aurait demandé un artisan, la masse contre la casse ne suffisait pas toujours, il fallait compléter. Je crois qu’au final, cet argent n’allait pas en totalité dans la même caisse. Une partie devait tomber dans une poche. Je vous souhaite bonne lecture et bon courage. "

Arleux le 27 avril 2021

René Maquet




Parmi les survivants de la promotion 48 52 qui comptait 60 Bleus, nous sommes quatre qui communiquons encore entre nous. Je nous nomme dans l’ordre d’âge décroissant : Édouard Arduin, 90 ans, Maquet René, Dussaux Guy, Delannoy Michel, 89 ans.

L’amicale des anciens, par le canal de Jean-Marie Devaux, a jugé qu’il était grand temps de nous demander de bien vouloir citer quelques anecdotes se rapportant à notre directeur car d’ici quelques années plus personne ne sera là pour se souvenir de Monsieur Hickel 


André Hickel (sa biographie est sur le site de l'amicale : CLIQUER ICI )


Pour nous, il était comme un père de famille, d’ailleurs nous le nommions « Pépère »

Notre classe de deuxième A se trouvait au premier étage juste au-dessus de l’amphithéâtre. Un soir pendant l’étude, l’un d’entre nous, pris d’un besoin urgent, était descendu aux WC, situés à l’époque dans la cour d’honneur actuelle.

Il s’était rendu compte que le directeur faisait sa ronde dans les classes du rez-de-chaussée. Il se dit : « aussitôt fini, je remonte en vitesse prévenir les copains ».

Mal lui en prit, malgré sa rapidité, le directeur, cependant plus lent, le suivait de très peu. Notre héros ouvrit la porte et cria : « tus ! Les mecs, voilà pépère ! ».

Le directeur n’en crut pas ses oreilles ;  en entrant dans la classe, il saisit le camarade à l’épaule , lui fit faire volte-face et lui dit : « je sais que vous m’appelez tous pépère mais je n’aime pas qu’on me le dise en face ! »

Un silence glacial retomba sur la classe aussitôt après le brouhaha que nous fîmes en nous levant pour saluer l’entrée de Monsieur le Directeur.

Nous nous demandions tous qu’elle allait être la sanction ? Croyez-moi, il n’y en eut aucune. « Pépère » méritait bien son surnom !


Quel contraste avec l’intendant Viseux qui était pour nous le père Fouettard. Chaque jour il distribuait les colles pour service de nettoyage mal fait, chaque normalien avait, aussitôt après le petit déjeuner, une corvée de nettoyage à remplir. Dès la rentrée, l’intendant nous réclamait la masse ; "la masse contre la casse" ! C’était une garantie monétaire pour assurer le remboursement d’une éventuelle dégradation que nous aurions pu commettre, les retards de paiement étaient sanctionnés par des colles, cet argent placé rapportait son intérêt.

L’intendant était très intéressé, il portait bien le nom d’économe. C’est peut-être à cause de cette qualité poussée à l’extrême qu’il s’est vu suspendu de sa fonction, en somme victime du métier ! Ou accident de travail !"


Ce témoignage sur l'intendant Viseux et l'utilisation controversée de la "masse" est corroboré dans un précédent article rédigé par notre regretté camarade, Jacques Colpart, (promo 50 52, dont voici le lien Du bon usage de la masse



On peut trouver l'original de la lettre manuscrite de René Maquet en cliquant sur le lien suivant :






jeudi 19 octobre 2017

JACQUES COLPART, NOTRE AMI, S'EN EST ALLÉ

Hommage à Jacques Colpart

Jacques Colpart, membre du conseil d’Administration des anciens élèves de l’école normale de Douai, promotion 50 52, nous a quittés en mai 2017. Quelques mois plus tôt, ils nous régalait encore par le biais du bulletin numéro 115 avec l’historique de la masse, prélèvement annuel géré par la coopérative de l’ENG, et sur l’issue de péripéties assez rocambolesques face à l’intendant de l’époque et arbitrées par le directeur, Monsieur Hickel.
Premier rang de gauche à droite :
Bécu Michel, Lanciaux Jean, Colpart Jacques, Monsieur Briquet , Monsieur Hickel , Méquinion Jacques, Petit, Delcroix Pierre
Deuxième rang :
Dujardin Jean, Basuyaux, Carrez Jean-Marie, Gillot Léon, Pocquet Roland, Bacquart Jean, Doutrehaut Maurice
Troisième rang :
Vardon Henri, Baille Lyon, Reynaert Alexandre, Breton Gilbert, Vananderbeck Norbert, Villain Marcel.

Madame Colpart a eu l’amabilité de me recevoir alors que je revenais du c.a. de la rentrée du 4 octobre dernier, séance au cours de laquelle nous nous sommes recueillis à sa mémoire. Elle n’avait pas encore touché aux nombreux documents réunis dans son bureau et m’a permis de rassembler entre autres les informations qui suivent, assorties de la photo de promo et d’un cliché où Jacques figure au milieu d’une classe algérienne en 1956.



En effet, après 18 mois de service militaire en Allemagne et à peine libéré, Jack a fait partie des « pistonnés » rappelés peu après, direction l’Algérie.
Souvenons-nous à ce propos de notre prof d’éducation physique et sportive, Monsieur Monnard, qui avait subi le même sort, à la même époque.
À la suite de plusieurs nominations à Lille, Ostricourt, Auby, Jacques se voit affecter à l’école Painlevé de Douai, école d’application dont pas mal d’anciens se souviennent. Sans omettre un interlude de deux années passées à enseigner au centre pénitentiaire de Douai.
Il fait aussi partie des anciens du tribunal pour enfants de DOUAI, de 1965 à 1988, date de son départ à la retraite. Sa carrière se termine alors qu’il exerce comme conseiller pédagogique, période pendant laquelle il s’efforce d’arranger au mieux les emplois du temps des jeunes extérieurs au département.
Ses interventions, aussi inattendues qu’amusantes, ses calembours et jeux de mots, au cours du c.a. des anciens, permettaient une récréation au milieu de certains débats pas toujours amusants.
Jacques, merci pour tout. Qui pourra te remplacer ?


Michel Wencel, promotion 54 58

dimanche 21 mai 2017

Notre camarade Jacques Colpart, PROMOTION 50-52, n'est plus.

Il était vive-président de notre amicale et avait remplacé à ce poste Jean Joly. Il restera dans nos mémoires comme un pédagogue exemplaire, conseiller pédagogique très apprécié de ses collègues tout au long de sa longue carrière. Il était plein d'humour, et maniait la langue avec talent, distribuant généreusement ses bons mots et ses calembours à chacune de nos réunions, qu'il rendait de ce fait très détendues. 


Selon sa volonté, un dernier hommage lui sera rendu le mardi 23 mai 2017 à 11 h 45, au crématorium de Roost-Warendin. 

Réunion au crématorium à 11 h 30. 
Ni fleurs, ni plaques, s'il vous plaît. 
Merci de les remplacer par un don pour le Secours Populaire. 

Ses cendres reposeront au columbarium du cimetière de Lambres-lez-Douai. 

Dans l'attente de ses obsèques, Monsieur Jacques COLPART repose à la maison funéraire de Douai, 304 rue de Cambrai, où les visites sont possibles de 9 heures à 20 heures. 

64, rue Jean-Baptiste Lebas - 59552 Lambres-lez-Douai 

lundi 19 décembre 2016

Du bon usage de la MASSE (*) ou comment Jacques Colpart (50-52) et ses camarades ont donné une bonne leçon de vertu mais aussi de gestion à l'intendant de l'ENI en 1950


Le 1er octobre 1950, nous franchissions le porche du 44, rue d'Arras pour deux années de formation professionnelle qui auront une influence déterminante sur la vie de la plupart d'entre nous.
L'euphorie de la libération, le retour des prisonniers ont déclenché un « boom » des naissances qui nécessite un recrutement complémentaire après Bac destiné à renforcer le recrutement traditionnel : mais nous ne sommes que  15 sur 45 candidats et toujours pas de programme de formation : depuis octobre 49, chaque école normale construit le sien en fonction de ses possibilités pédagogiques et matérielles. Pour ce qui nous concerne, nous avons la chance d'avoir une solide formation pédagogique de six mois et un accès à une formation culturelle et sociale variée : poterie, céramique, théâtre, cinéma, natation, centre d'entraînement aux méthodes d'éducation active (CEMEA) que beaucoup de nos jeunes enseignants pourraient nous envier. Cette formation nous fut fort utile pour surmonter la difficulté à conduire des CP dont les effectifs pouvaient atteindre 50 élèves et plus (exemple 63 dans un CP de Frais Marais, hameau de Douai ).

Mais pour beaucoup d'entre nous, le grand changement c'est la formation en internat, avec ses avantages : la vie en groupe qui développera un sens de l'entraide de la solidarité que, pour ma part, je ne rencontrerai plus jamais de manière aussi forte, et ses inconvénients, ses contraintes comme l'entretien des locaux, l'observation d'un règlement strict et minuté dans tous les domaines.

Notre génération, fortement marquée par la guerre et l'occupation allemande était éprise de justice, d'autonomie et de liberté. Nos héros n'étaient pas des stars de cinéma, on les connaissait, c'était les mineurs grévistes dès 1941, les résistants, les déportés, les fusillés, qui étaient parfois des parents, des voisins ou des habitants de notre village.

Si vous ajoutez à cela la méfiance acquise à l'égard de tout ce qui représentait l'autoritarisme, l'injustice à cause du gouvernement vichyssois, vous aurez une idée de ce qu'était notre état d'esprit à 18 ou 19 ans dans les années 50.

Très tôt , nous profitons de notre représentation par les chefs de classe, auprès de l'administration, pour nous organiser en coopérative scolaire afin de mieux répartir les tâches matérielles dans chaque classe, au niveau de l'école et faire circuler les demandes des élèves vers l'administration.

Chaque requête est au préalable votée dans les classes et transmise par le chef de classe ou le représentant de la COOP.

Quelques mois après la rentrée, nous faisons paraître de temps à autres une feuille de textes que nous appelons avec un peu d'emphase « journal de la Coop ».
Sur le plan matériel, nous disposions de 40 Fr. ancien mensuels en FP1  et 80 Fr. anciens en FP2 d'argent de poche qui, pour beaucoup d'entre nous, était l'unique ressource.
Il est vrai qu'une cigarette se fumait très souvent à plusieurs et notre seule « débauche » c'était d'aller chez Arthur, place d'armes, pour y déguster une portion de frites arrosée d'un demi entre le goûter et le repas du soir, mais de temps à autre.

Très vite, la solidarité s'impose comme naturelle et indispensable. Sur notre bourse d'état , l'intendance retenait, dès la rentrée, une somme dont j'ai oublié le montant pour payer la réparation des dégâts éventuels attribués aux élèves : c'était la MASSE (*).
Nous n'avions aucun justificatif de la part du gestionnaire. Aussi, lorsque nous eûmes la surprise de subir une retenue supplémentaire, quelques mois après la rentrée, pour boucler le budget « réparations », notre méfiance et l'idée d'être floués ne firent  qu'augmenter.
Très vite, nous décidons une réunion de la Coop et demandons, puisque les élèves participaient à l'entretien de l'établissement, de gérer nous-mêmes la masse à partir de la rentrée 51.

L'atmosphère devint tendue. Les chefs de classe qui devaient régulièrement prendre contact avec l'intendance pour s'y faire livrer du petit matériel nécessaire au fonctionnement des classes, se virent l'objet de pressions de toutes sortes.
Chaque matin, l'intendant passait dans toute l'école pour vérifier la propreté des classes et des tableaux avant l'heure des cours.

Un jour, il constata que le tableau d'une classe n'était pas nettoyé et pour cause, y «figurait» sa caricature sous forme d'aigle tenant dans ses serres un sac rebondi sur lequel s'inscrivait en majuscules le mot MASSE.
Est-ce que notre solidarité totale, notre insistance, ou la certitude pour l'administration qu'on allait à l'échec , on nous donna gain de cause. Alors nous avons organisé dans chaque classe des entretiens avec nos camarades pour les convaincre que l'enjeu allait bien au-delà du gain de quelques dizaines de francs.
Il s'agissait de prouver que nous étions capables non seulement de solidarité mais aussi de responsabilité.


Message reçu : en fin d'année 52, non seulement il n'y eut aucun rappel de cotisation mais après parution du bilan annuel, nous avons ristourné à chaque élève une partie de la somme initiale. Nous étions ravis. On avait prouvé qu'en agissant en adultes responsables et solidaires on pouvait faire mieux qu'avant et pour moins cher. Il est vrai qu'on ne faisait pas repeindre un mur entier de la galerie vitrée, pour effacer l'empreinte d'une semelle de chaussure !

MASSE : voici ce que le règlement d'alors indiquait à propos de la MASSE 


À la rentrée scolaire, il est demandé à chacun un versement de 500 Fr. sur lequel est prélevé le montant des dégradations dont l'élève se rend coupable.
L'ensemble des versements et des retraits est géré avec le concours des chefs de classe par la coopérative des élèves. À la fin de l'année scolaire, le reliquat est reversé aux ayant droit. Si, en cours d'année, la première mise de fond de 500 Fr. s'avère insuffisante pour couvrir les frais de réparation, il convient de compléter les versements.
Si les parents constataient des demandes d'argent abusives au titre de la masse, tous éclaircissements utiles pourraient  leur être donnés sur simple demande de leur part.

samedi 29 octobre 2016

En ces temps de souvenir et de recueillement à propos de nos proches disparus, petite visite au cimetière des Trois faubourgs à Douai sur la tombe de Paul et Yvonne Dumont, nos chers professeurs de français et arts plastiques

On peut lire sur le marbre de la tombe : Pr. Paul Dumont 7.8.1918  - 11.8.1983 & Pr. Jeanne (Yvonne ) Dumont, née Dupuch 22.7.1925 - 18.3.2007


Paul Dumont, dit "Popaul" et Jeanne (alias Yvonne) Dumont, surnommée Miss Doum, ont été, chacun dans leur domaine, nos maîtres, nos conseillers, nos (quasi) parents de substitution pour certains, pendant nos années à école normale. Nous leur devons beaucoup. Et nous ne manquons pas de leur rendre hommage dans notre blog, chaque fois que l’un d’entre nous a une anecdote, un fait saillant à rappeler. Et nous espérons que cette publication amènera de nouveaux témoignages, souvenirs marquants de leur pédagogie si particulière et de leur dévouement à leur chère école normale où ils ont fait toute leur carrière.


De gauche à droite, un certain 19 octobre 2016, en recueillement devant la tombe de Paul et Yvonne Dumont, ("Popaul" et "Miss Doum" pour les intimes) : Jacques Colpart, Alain Carré, Roger Façon, Michel Wencel (et moi-même, Jean-Marie Devaux qui prends la photo), suite à la réunion du conseil d'administration de l ‘amicale des anciens de l’école normale et IUFM de Douai.




mardi 18 novembre 2014

ÉPHÉMÉRIDE DE L'AMICALE DES ANCIENS ÉLÈVES DE L'ENF IUFM DE DOUAI - ANNÉES 2000 À 2012, RÉALISÉ PAR JACQUES COLPART (50-52)


Assemblée générale du 26 mars 2000 :
Nous apprenons le décès d'André Canivet, ancien élève (1903-1906), ancien professeur de l'EN, ex maire de Douai et sénateur du Nord, auteur d'une histoire de l'École Normale de Douai de 1834 à 196, éditée en 1962.
Cinq nouveaux administrateurs sont élus : 
- Alain Carré (56-61),
- Paul Majowski (58-62) et Céline Bonte, Vincent Delecroix, Ludovic Leroy (98–99)
- Monsieur Natali, directeur de l'IUFM nous confirme la bonne santé de la formation des enseignants qui regroupe 800 étudiants répartis sur les deux années.
- 22 anciens de la 98-96 participeront ce jour à nos retrouvailles.

Assemblée générale du 21 mars 2001

- l'amicale décide de créer son site Internet.
Nos deux derniers directeurs d'EN, Messieurs Beaucarne et Mutelet sont parmi nous.
Monsieur Joly a réuni une trentaine d'anciens de l'union sportive normalienne, accompagnés de leurs épouses ou compagnes.
Parmi eux, Michel Delplanque, directeur des sports auprès de la ministre Marie-George Buffet.

Assemblée générale du 28 avril 2002 :

L'assemblée générale se déroule dans une salle Condorcet rénovée.
- 52 présents, seulement, au repas, cette année.
Le président, Stéphan Marcinkowski, nous fait part des efforts réalisés envers les élèves professeurs pour assurer la continuité de notre association et sollicite la motivation de tous les Amicalistes.

Assemblée générale du 6 avril 2003 :

50e anniversaire de sortie des 49-53 et 51-53 : 105 anciens participent au banquet.
C'est beaucoup mieux, nos efforts envers les anciens de l'IUFM restent peu rentables.

Assemblée générale du 16 mai 2004 :

Hommage est rendu à notre président d'honneur Monsieur Robert Mériaux (promo 25-28), ancien directeur de l'ENG, décédé à Vimy le 7 mars 2004. Son humanisme était unanimement reconnu par tous ceux qui ont eu la chance de le connaître.
- 94 anciens, dont les promotions 54-58 et 64-68 se sont particulièrement distinguées en participant à notre journée.

Assemblée générale du 2 avril 2005 :

111 participants au repas. De nouveaux efforts sont réalisés pour maintenir des contacts avec les élèves professeurs. Madame Cegarra, professeure d'Université, travaille avec quelques anciens, à l'organisation des échanges d'expériences pédagogiques avec les élèves professeurs. Nous avons à regretter le décès accidentel de Jean-Marie Jacob le 24 mars 2005 à Hazebrouck, amicaliste, membre du conseil d'administration depuis 1994, secrétaire  général de la FLASEN. Il nous laisse le souvenir d'un camarade simple et généreux.

 Assemblée générale du 2 avril 2006 :

Monsieur Durand, inspecteur d'académie adjoint et Monsieur Marin, directeur du centre IUFM de Douai nous font l'honneur de leur présence.
123 anciens représentant 26 promotions sont réunis cette année.
La journée d'étude : « De l'école normale aux IUFM- éthique et valeurs éducatives ou le sens d'un métier  » s'est déroulée devant un public de stagiaires, d'enseignants, de formateurs, malheureusement clairsemé.

Assemblée générale du 1er avril 2007 :

Nous sommes 116 au banquet et avons enregistré 12 nouvelles adhésions.
Monsieur Parmentier, nouveau directeur du centre IUFM de Douai nous souhaite la bienvenue et propose que nous participions le 10 avril à une conférence sur le bilan des parcours de vie et les pratiques pédagogiques des anciens.
Le 7 février 2007, notre président Stéphan Marcinkowski, entouré de sa famille et de ses amis, reçoit les insignes de chevalier dans de l'Ordre National du Mérite, au cours  d'une cérémonie chaleureuse, ou l'école publique et les écoles normales sont mises à l'honneur.

Assemblée générale du 30 mars 2008 : 

101 participants au banquet, parmi lesquels Monsieur Bernard Mutelet, ancien directeur de l'ENG et Madame, Monsieur Jean Haremza, ancien professeur de lettres et le plus fidèle voyageur « transmanche » notre incontournable Donald WEBB 
- les interventions de Monsieur Brassart, directeur de l'IUFM Nord-Pas-de-Calais, de Madame Dubois, responsable du site de Douai  et de Monsieur Jaspart, responsable administratif et financier, nous informent des profondes modifications qu'entraîne l'intégration des IUFM aux universités à compter du 1er janvier 2008. Il y aura masterisation des métiers de l'enseignement. Le site verra ses activités "rapatriées du côté filles" mais sans hébergement.
Les projets de reconstruction devraient sauvegarder les éléments historiques des bâtiments.
Notre nouveau trésorier Alain Carré présente le rapport financier.

Assemblée générale du 29 mars 2009 :

Nous serons 130 à nous revoir pour 21 promotions représentées.


C'est le 17 novembre 1949 que notre association a été créée grâce à Jean Andrieu (promotion 1909-1912) président fondateur, soutenu par Monsieur Hickel, directeur de l'ENG.
- Madame Dubois et Monsieur Jaspart, respectivement responsable pédagogique administratif et financier du site IUFM confirment la restructuration et le regroupement des activités côté ex ENF.
« La compétence d'expertise des personnels n'est pas remise en question, seules les modalités d'intervention des uns et des autres pose problème : qu'allons nous faire ? Où ?

PIERRE 
LADRIÈRE
(46-50)
- Le 18 décembre 2008, nous avons eu à déplorer le décès de notre trésorier Pierre Ladrière (1947-1951).
Adhérent fidèle, administrateur actif, il avait une parfaite connaissance de notre amicale, de son fichier et sa gestion qu'il assurait depuis 1986 était digne d'un expert-comptable. Quoi de plus rassurant pour notre association qui rend hommage à l'ami fidèle et dévoué.

Assemblée générale du 28 mars 2010 :

Nous serons 108 pour un total de 17 promotions.
Nous enregistrons 28 nouvelles adhésions. Monsieur Beaucarne, ancien directeur de l'E.N.G. nous adresse un courrier qui exprime sa tristesse face à l'évolution de la formation et « laisse à d'autres plus jeunes la mission la plus urgente, à savoir sauver la république et rebâtir l'école saccagée » 
- Madame Dubois et Monsieur Jaspart, responsables du site IUFM, nous font part de leurs inquiétudes quant à la formation des enseignants et nous annoncent la fusion des deux écoles annexes qui passent sous la responsabilité de la ville de Douai.
- Suite à l'annonce brutale de la fermeture du site IUFM de Douai, l'amicale participe le 17 octobre 2009 au comité de pilotage réunissant élus, syndicats et anciens des écoles normales et manifeste le 6 novembre 2009 devant l'université d'Artois à Arras. 

Assemblée générale du 3 avril 2011 :

Nous avons réuni 116 anciens de 17 promotions différentes et 75 de la 61-65 qui, faute de places, fêteront leurs retrouvailles au Volubilis à Douai.
- Monsieur POLVENT , inspecteur d'académie et Monsieur ORY, proviseur du nouveau lycée d'excellence qui occupe en partie les locaux de l'ex ENG, nous souhaitent tour à tour la bienvenue.
Au cours de l'assemblée générale, un nouvel administrateur est élu : Jean-Marie Devaux (promotion 1966-1971)
1er avril 2012
Les 106 anciens présents constatent et ce n'est pas pas une blague que la galerie vitrée, si appréciée l'hiver, a disparu.
Après les interventions de Monsieur Polvent, inspecteur d'académie et de Monsieur Bufquin, adjoint aux écoles, qui met en valeur les objectifs du lycée d'excellence et la continuité du rôle éducatif des lieux, Monsieur Wosik, responsable pédagogique du site IUFM, nous fait part de la grave désaffection des candidatures : de 1000 en 2008 leur nombre est passé à 90 en 2012.
Renchérissement des études, perte de l'année de stagiaire, désintérêt pour l'enseignement, autant de raisons pour expliquer cette situation. L'ancienne école annexe Paule Parent suffira pour accueillir le site de Douai . 
Deux postes d'administrateurs sont à pourvoir : Gérard Vienne (promo 55-59) et Jean Ledoux (promotion 56-59) se sont portés candidats à l'issue de l'assemblée générale.


Jacques Colpart, rédacteur de l'éphéméride 2000-2012














Ils ont participé à l'encartage et à l'expédition du dernier bulletin de l'amicale en Février 2014 à la mairie de Lewarde et sont cités pour certains ( en caractères gras) dans le rappel des faits marquants de l'amicale pour la période 2000-2012, avec de gauche à droite : Alain Carré, Michel Wencel, Jacques Colpart, André Léger, Jean Joly, Paul Majowski ... (et votre serviteur, Jean-Marie Devaux, auteur de ce blog, qui n'est pas visible puisque derrière l'objectif au moment de la prise de cette photo)

vendredi 14 février 2014

LE BULLETIN N°112 VIENT D'ÊTRE ENVOYÉ. A VOS BOITES AUX LETTRES POUR LE DÉCOUVRIR, SINON, ADHÉREZ À L'AMICALE POUR LE RECEVOIR...



LA COUVERTURE DU BULLETIN ANNUEL N° 112 DE L'AMICALE (bientôt ... ou déjà dans votre boite aux letttres)




L'ÉQUIPE CHARGÉE DE LA MISE SOUS ENVELOPPES : de gauche à droite : Alain Carré, Michel Wencel, Jacques Colpart, André Léger, Jean Joly (toujours en forme et venu à Lewarde au volant de son véhicule personnel) et Paul Majowski, (ainsi que votre serviteur, Jean-Marie Devaux,  à la manoeuvre pour la photo)
CETTE ANNÉE, LA COULEUR FAIT SON APPARITION DANS NOTRE BULLETIN À L'OCCASION DU 800 È ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE BOUVINES DANS 3 PAGES RÉSERVÉES. TRÈS IMPRESSIONNANT...




PS : Si vous ne recevez pas votre bulletin, faites nous le savoir, peut-être s'agit-il tout simplement parce que vous n'êtes pas, pas encore ou plus adhérent de l'amicale, en ce cas reproduisez le bulletin d'adhésion ci-dessous et envoyez-le accompagné de votre règlement à l'adresse mentionnée.