Affichage des articles dont le libellé est Schmidt. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Schmidt. Afficher tous les articles

dimanche 16 février 2020

Gérard Six (promo 65 70) dont on fête le jubilé de la promo en 2020 nous présente sa classe avec les noms étiquetés pour faciliter les retrouvailles

1  SUDRIE    BERNARD  3  WALCZAK    JACQUES jean   4 SAGOT    ROGER 6    SORNETTE    JOEL 7    SCHEPENS    HERVE 8    SALEMBIER    JEAN PAUL 9    MEERSCHMAN    ROBERT 10 REGIS PONTHIEU 11 QUENENSSE    JACQUES  12  POTEAU    MARC 13    VALLEZ    CHRISTIAN 14    DESSAINT    PATRICE 16    BONVISSUTO    GIUSEPPE  18  FAUQUANT    GERARD 19    PELISSIER    DIDIER 20    SKOPINSKI    JACQUES 21    MASCLET    georges 22    SIX    GERARD 23    DEMOUTIEZ    DIDIER 25    CREPE    PIERRE 27    JANISZEWSKI    ERIC 28    DELEBECQUE    DANIEL 29    PANTEGNIES    GERARD 30    COUROUBLE    JEAN PIERRE 31    VITSE    ROBERT 32    DONNE    JEAN MARIE 33    Bonnot    jean 35    VARLEZ    SERGE


quelques photos de la promo 65/70


1968 Sornette Six  Schepens Pelissier Sagot Salembier
Schmidt Salembier Schepens Rist Sagot Six
Match de basket terminale c



amicalement

Gérard SIX

On peut s'inscrire au banquet annuel du 5 avril 2020 et adhérer à l'amicale des anciens normaliens en utilisant ou en recopiant les bulletins ci-dessous, adressés à Alain Carré, dont l'adresse figure sur le document :







dimanche 15 septembre 2013

MICHEL DEFRETIN SE SOUVIENT ET NOUS OFFRE L'ORIGINAL DE SON INVITATION du 22 NOVEMBRE 1947 POUR L'INAUGURATION D'UNE PLAQUE COMMÉMORATIVE EN SOUVENIR DES ANCIENS ÉLÈVES DE L'ÉCOLE NORMALE MORTS POUR LA PATRIE PENDANT LA GUERRE 39-45


Inauguration du mémorial (cérémonie du 22 novembre 1947)
GUERRE de 1939-1945

INAUGURATION D'UNE PLAQUE COMMÉMORATIVE

en souvenir des Instituteurs et Élèves de l'Ecole Normale morts pour la Patrie, pendant la guerre 1939-1945

Une manifestation particulièrement émouvante s’est déroulée le 22 Novembre 1947 à l’École Normale d’Instituteurs de Douai, en l’honneur des Instituteurs et Élèves de l’E. N., Morts pour la Patrie, pendant la dernière guerre.
A 15 heures, les familles des disparus, les amis de l’École, les Anciens Élèves et les Élèves se trouvaient réunis dans la grande salle de l’Établissement.
La cérémonie était présidée par M. le Recteur SOURIAU. Sur l’estrade, on notait la présence de MM. SCHMIDT, Inspecteur Général, DEGORGE, Inspecteur d’Académie ; MM. MAGE, Premier Président de la Cour d’Appel, DUFAYET, Procureur Général ; MM. COUTEAU, Président du Conseil Général, CANIVEZ, Conseiller Général et Professeur à l’E. N. ; M. PHALEMPIN, Maire de la Ville de Douai ; MM. HICKEL, Directeur de l’Ecole Normale, HOURIEZ, Inspecteur départemental de l’Éducation physique et des Sports, CORNET et STREINGER, Inspecteurs de l’Enseignement primaire à Douai, CORNETTE, Secrétaire général du Syndicat National des Instituteurs du Nord, DAUDRUMEZ, Proviseur du Lycée, etc...

La cérémonie débuta par la “  Marseillaise “  interprétée par le chœur des Élèves-Maîtres.
Des discours furent prononcés. Le jeune DOREMUS, élève de l’Ecole Annexe, apporta l’hommage d’un enfant au nom de ses camarades des Écoles primaires publiques. MM. HICKEL, CORNETTE et M. le Recteur SOURIAU prirent successivement la parole pour dégager le sens de cette manifestation du souvenir envers ceux qui, pour la réalisation de leur idéal, ont accepté le suprême sacrifice.
Dans ces allocutions, fut évoquée la mémoire des disparus dont 38 tombèrent en 1940, 6 succombèrent en captivité, 10 moururent en déportation, 3 périrent sous les bombardements, 6 furent envoyés par les Allemands au poteau d’exécution, et les 3 derniers donnèrent leur vie en combattant dans les F. F. I. Tous les orateurs recommandèrent vivement aux Élèves de méditer l’exemple de ces grands anciens dont le souvenir se perpétuera grâce à cette plaque commémorative fixée sur le socle du Monument.
Après l’interprétation des hymnes de circonstance : “  Hymne aux Morts “  et “  Chant des Vainqueurs “ , une minute de profond silence mit fin à cette première partie de la cérémonie.
Un cortège se forma ensuite dans la cour de l’École. En tête venaient des Élèves-Maîtres porteurs de gerbes, puis les personnalités, les professeurs, les familles des disparus, les amis de l’Ecole, et les Élèves groupés par promotion. M. le Recteur fit glisser le drapeau couvrant la plaque commémorative sur laquelle sont inscrits les noms des disparus et l’émouvant appel des Morts figea les assistants en une impressionnante immobilité.
Des gerbes furent ensuite déposées par MM. CANIVEZ, Professeur à l’E. N., pour le personnel enseignant, HEMERY, Directeur de l’Ecole Annexe pour le syndicat de l’Enseignement, et par les Élèves-Maîtres, et une nouvelle minute de recueillement fut observée.

REPRODUCTION DU TEXTE DE L'ORIGINAL DE L'INVITATION FOURNIE PAR MICHEL DEFRETIN (46-50) :
École normale de Douai.
Inauguration d'une plaque commémorative en souvenir des anciens élèves de l'école normale, morts pour la patrie pendant la guerre 39-45
-------------------
Cérémonie placée sous la présidence de M. le recteur de l'académie de Lille.
-------------------
Programme.
Réunion des familles de disparus, amis de l'école, anciens élèves dans la grande salle de l'établissement (ancienne chapelle).
15:00 : entrée des personnalités
          Choeur des élèves : la Marseillaise

Discours du directeur de l'école normale
          Choeur des élèves : hymne aux morts

Discours de M. Cornette, directeur d'école, 
Secrétaire général du SNI, section du Nord,
Représentant les anciens élèves.

Hommage d'un enfant au nom de ses camarades de l'école primaire publique,
Discours de M. le recteur SOURIAU
Choeur des élèves : Chant des vainqueurs
Cortège jusqu'au monument aux morts
Ordre :
     - élèves-maîtres, porteurs de gerbes
     - personnalités
     - Assistants et professeurs,
     - Élèves groupés par promotion

Inauguration du mémorial
Appel tes morts,
Dépôt de gerbes,

Minute de silence,
Dislocation

mercredi 17 avril 2013

BAL À L'ÉCOLE NORMALE DE GARÇONS, LA CLASSE !!!


Eh oui, on ne faisait pas qu'étudier à l'ENG de Douai, on organisait des bals... Comme en témoigne cette photo de l'Orchestre de l'EN de 1966/1968.
De gauche à droite
- Au 1er rang :
Platevoet, Anne, Marousez, Schmidt, Beauvillain, Jean Bacquet, professeur de musique, récemment décédé, Bayliss (au piano )
- Au 2ème rang de gauche à droite :
Ribeaucourt, Mouton, Schepens, Cotelle, Quillet, Degaye, à la batterie Villette dit Bébert (disparu tragiquement dans l'incendie du 5/7 à Saint-Laurent-du-Pont (38) le 1er novembre 1970)

Si vous avez d'autres photos, n'hésitez pas à nous les faire parvenir avec anecdotes à l'appui pour leur publication.


Rappel de notre adresse de ralliement : engiufmdouai@gmail.com


ON LIRA CI-APRÈS LE COMPTE RENDU D'UN DE CES BALS, PARU DANS "REFLETS" DE FÉVRIER 1948 :

Échos  des fêtes… 
Ces derniers jours, une atmosphère de fête régnait à l'intérieur des deux EN. 
En effet, à l'occasion de Ste Catherine et de Saint Nicolas, les normaliennes et les normaliens de première année, avaient voulu donner, comme il se doit, à leurs aînés  et à eux-mêmes, l'occasion de s'amuser.
Ce furent les normaliennes qui ouvrirent le ban, se soumettant par là aux exigences du calendrier. Leur séance récréative permit aux normaliens de fouler pour la première fois le parquet ciré de la nouvelle salle des fêtes de l'ENF avec son éclairage moderne dit "AU LÉON"  selon l'expression savoureuse de Mickey. Le spectacle en soi  fut honnête. Chacun a pu admirer les gracieuses évolutions des danseuses ravissantes que les jeux de lumières si bien dirigés par une main aussi experte qu'anonyme rendaient plus belles encore. 
Le soir, au son d'un pick-up d'occasion, passablement détraqué, un bal se déroula dans une atmosphère poussiéreuse, très bien conçue pour alimenter la clientèle de la buvette, remarquablement  installée et doublée d'une pâtisserie aux gâteaux succulents mis à la portée de toutes les bourses de tous les normaliens et de toutes les normaliennes.
Cette fête n'était pas encore terminée et l'on parlait déjà de la prochaine, laquelle eut lieu le jeudi suivant. Les bleus donnèrent une représentation théâtrale d'une facture acceptable, eu égard au temps très court dans lequel elle fut préparée. Le dynamisme fut de rigueur ; l'orchestre donna le ton et contribua à créer une ambiance sympathique, caractéristique de toute fête normalienne. Certains artistes se révélèrent, et nous pensons qu'ils auront encore maintes fois l'occasion de confirmer notre opinion à ce sujet.
Nous eûmes  également le plaisir de revoir nos amis, les ex-matheux, parmi lesquels "Phylis", qui, pour la circonstance, s'était coupé les cheveux et qui nous entretint pendant quelques instants du calcul des imaginaires ! Nous avons regretté l'absence de « Pa-oin » retenu par les Maths ou autre chose et de "Jeff", le parfait philosophe.
Mais par contre nous avons retrouvé le sympathique Bébert et son inséparable trompette.
Pour le repas du soir, un peu plus copieux qu'à l'ordinaire, mais un peu sec (carence regrettable en vin), certaines permutations d'effectifs avaient été prévues et la disposition des convives permit de révéler certaines affinités jusqu'alors insoupçonnées. Puis, un bal animé par un orchestre de classe avec des musiciens dévoués clôtura cette journée. Il se termina un peu trop tôt, un incident regrettable et imprévu, en ayant précipité la fin. Pour pallier toute soif des danseurs, et des autres, un bar avait été installé dans la salle des "quatrième année". Celle-ci avait été préalablement lavée à  grande eau par les élèves-maîtres stagiaires, devant les regards stupéfaits de Monsieur le Directeur et de Monsieur l'économe, peu habitués à un tel  zèle  de la part des "4ème année ", réputés « fumistes » à tort, bien entendu.
Le lendemain, en évoquant les événements de la veille, normaliens et normaliennes ont repris le travail avec une ardeur nouvelle, voulant conserver par-là, la réputation de « bûcheurs » qu'ils gardent encore, et qu'ils essaient de justifier, sans y parvenir toujours.
M. Moutiez.
J. Leclercq.