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vendredi 25 octobre 2024

Edmond ARDUIN, promo 48 52, l'un des doyens de notre amicale, est décédé ce 22 octobre 2024, à l'âge de 94 ans. C'est Michel DELANNOY de la même promo qui nous en fait part






THUN-SAINT-MARTIN

Josette ARDUIN-BARALLE, son épouse,
Alain ARDUIN et Maryse COPPIN,
Éric et Annick ARDUIN-DEVOS,
Guy et Marie ARDUIN - RAOULT,
Véronique et Alain VILTARD-ARDUIN, ses enfants,
Hélène, Guillaume, Nicolas et Anne-Cécile, Marie, Paul, Adrien, Victor, Camille, Jeanne, Charlotte, Bastien, ses petits-enfants,
Elliot, son arrière-petit-fils
ainsi que toute la famille,

ses nombreux amis,

toute l'équipe dévouée du court séjour gériatrique de l'hôpital de Cambrai,

ont la tristesse de vous faire part du décès de

Monsieur Edmond ARDUIN

Ancien professeur au collège Victor Hugo de Somain

survenu le mardi 22 octobre 2024, à l'âge de 94 ans.

La cérémonie civile se déroulera le samedi 26 octobre 2024,
à 11 heures, à l'espace Henri-Desprès (près du cimetière) à
Thun-Saint-Martin, où un dernier adieu pourra lui être adressé, suivie de l'inhumation dans le caveau de famille au cimetière dudit lieu. 

Dans l'attente de ses funérailles, Monsieur ARDUIN repose à son domicile, au 41, rue des Cutiviers à Thun-Saint-Martin, où la famille recevra les visites ces jeudi 24 et vendredi 25 octobre 2024,
de 16 heures à 18 heures.

Pas de plaques s'il vous plaît.

Pompes Funèbres LEFORT
12, place de la République - 59141 IWUY
✆03.27.78


La promotion 48 52





Témoignages reçus :

Daniel Salaün
Toutes mes condoléances à ses proches. Je l’ai eu comme prof de sciences nat, comme on disait à l’époque, en quatrième puis en troisième au CEG de Somain. C’était un excellent prof qui savait tenir sa classe.
Merci monsieur Arduin.



Florence Bantignie :
Que de souvenirs avec ce professeur que j'ai eu comme professeur principal et professeur de physique en annee scolaire 1982-1983 , toujours en blouse grise , et comme beaucoup à l'époque bien habillé. Concernant le poème, pour l'année docte. En 1981 J'avais écrit un texte pour Mr Rousseau Michel ( principal) lors de son départ en retraite. Mr Arduin m'interpelle "Bantignie, je parie que tu n'en ferais pas un pour moi" Deux ans après, je suis arrivée avec ce texte sous forme de parchemin ecrit en calligramme ( retrouvé dans mes cahiers). Je revois encore sa tête, et pour la première fois il m'a appelé par mon prénom " Florence tu n'as pas oublié" très ému du cadeau.



Jean Louis Delaby (promo 68 70)

Monsieur Arduin a été mon Maître de CE2 à l'école des garçons de Guesnain... C'était en 1957 - 58... Je garde de lui le souvenir d'un maître exigeant, demandant bien du travail à ses élèves...C'était aussi une main de fer dans un gant ...de fer...Il m'impressionnait beaucoup...Mais quel résultat !!!...Tous ses élèves lui doivent beaucoup... A l'époque les effectifs étaient élevés , l'objectif était une efficacité sans faille... On était dans le vieux bâtiment, à l'étage, avec le feu à l'arrière de la classe... On faisait un " service" le matin, à tour de rôle, pour nettoyer les tables, le tableau...Monsieur Arduin avait un bac à sable, dans lequel il avait reconstitué un paysage type, avec montagne, rivière, forêt, le tout coloré avec de la poudre de craie, très réaliste... On avait des listes de vocabulaire à apprendre, tapées à la machine et tirées à la machine à alcool... On redoutait les dictées... On avait aussi à remplir des fiches météo ... il nous fallait observer, comparer, demander,...

Quelle base de savoirs !!! ...Le jour des vaccinations BCG, je suis tombé dans les pommes et Monsieur Arduin m'a reconduit chez moi dans sa Simca Aronde...

Merci Monsieur Arduin pour tout, et vous aviez raison d'être sévère... Je vous en suis très reconnaissant... Avec toutes mes condoléances à sa famille... 

Jean Louis Delaby




vendredi 21 juillet 2023

Jacques Halliez, promo 48 52, président d'honneur de l'ARENVAL (amicale des retraités de l'Éducation Nationale du Valenciennois) est décédé le 18 juin 2023 chez sa fille à Wimereux. Michel Delannoy, son camarade de promotion nous en fait part

Michel Delannoy nous écrit tristement : "Presque tous mes condisciples et autres  contemporains nés  en 32 et avant  sont partis ! Encore  un  32 hier(il était né le 7 Novembre à Denain) ! promotion 47 51 !  L'attente est difficilement  supportable !!   

Michel  Delannoy



Son décès a bouleversé également les membres de l'association des retraités de l'Éducation Nationale du Valenciennois qu'il avait créée. Un hommage lui sera rendu par l'association en septembre 2023

"Chers Amicalistes,

Nous vous informons avec tristesse du décès de notre Président d'Honneur, Jacques Halliez, survenu chez sa fille à Wimereux.

Ses funérailles ont été célébrées sur place dans l'intimité de la famille.

Les cendres de Jacques seront ramenées en septembre au cimetière de Valenciennes où un hommage pourra alors lui être rendu.

Nous vous tiendrons informés de la date dès que nous la connaîtrons."


La Secrétaire,

Marie HINGUE

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Avis de décès

VALENCIENNES-WIMEREUX

Madame Hélène HALLIEZ, sa fille,
Madame Corinne HALLIEZ, sa belle-fille,
ses petits-enfants et arrière-petits-enfants,
Madame Anne-Marie LEFRANC, son amie,

ont la douleur de vous faire part du décès de

Monsieur Jacques HALLIEZ

Directeur d'école honoraire
Retraité de l'Enseignement Public

survenu à Wimereux, le dimanche 18 juin 2023, à l'âge de 90 ans.

Selon sa volonté ses obsèques ont été célébrées dans l'intimité familiale.

Le présent avis tient lieu de faire-part.

Pompes Funèbres Intercommunales du Boulonnais
84, avenue J.-Kennedy - 62200 BOULOGNE-SUR-MER
29, rue de l'Egalité - 62230 OUTREAU ✆03.21.33.30.00

vendredi 7 mai 2021

"Pépère " et le père Fouettard, par René Maquet, doyen de l'amicale des anciens normaliens de Douai. Une anecdote au sujet de Monsieur Hickel, le directeur, et de Monsieur Viseux, l'intendant

Nous avons sollicité nos plus anciens camarades, les doyens de la promotion 48 52, afin qu'ils nous racontent un peu leur quotidien sous la direction de Monsieur André Hickel, directeur de 1941 à 1956. Leur réponse n'a pas tardé sous la plume du toujours aussi pétillant René Maquet.

René Maquet



"Chers camarades,

Je vous adresse une première anecdote. Je vous en ferai parvenir d’autres si vous le souhaitez. Je vous laisse le soin de contrôler l’orthographe et la sémantique. À 90 ans, je dois avoir souvent recours au dictionnaire, au Bescherelle, à la grammaire… Je ne me vexerai pas si vous me signalez quelques incorrections.

J’ai profité de l’occasion pour éclabousser au passage l’intendant, il trouvait toujours le moyen de nous soutirer de l’argent.

Nos chaises étaient en bois ; comme elles étaient soumises à de gros efforts, il nous arrivait de temps en temps de les enfourcher à l’envers, le dossier à l’avant, les mains sous le siège, nous les faisions danser en ronde par secousses répétées, nous appelions cette distraction : la cavalerie allemande. Il faut dire que notre promo n’était que la cinquième d’après-guerre. Les chaises, disjointes , parfois cassées , étaient réparées par le menuisier attaché à l’école, son épouse était concierge. Ils habitaient la petite maison à gauche de l’entrée par la grille de l’allée Parent où se trouvait la statue d’Hercule terrassant le lion.

L’intendant nous faisait payer la réparation de notre chaise au prix qu’aurait demandé un artisan, la masse contre la casse ne suffisait pas toujours, il fallait compléter. Je crois qu’au final, cet argent n’allait pas en totalité dans la même caisse. Une partie devait tomber dans une poche. Je vous souhaite bonne lecture et bon courage. "

Arleux le 27 avril 2021

René Maquet




Parmi les survivants de la promotion 48 52 qui comptait 60 Bleus, nous sommes quatre qui communiquons encore entre nous. Je nous nomme dans l’ordre d’âge décroissant : Édouard Arduin, 90 ans, Maquet René, Dussaux Guy, Delannoy Michel, 89 ans.

L’amicale des anciens, par le canal de Jean-Marie Devaux, a jugé qu’il était grand temps de nous demander de bien vouloir citer quelques anecdotes se rapportant à notre directeur car d’ici quelques années plus personne ne sera là pour se souvenir de Monsieur Hickel 


André Hickel (sa biographie est sur le site de l'amicale : CLIQUER ICI )


Pour nous, il était comme un père de famille, d’ailleurs nous le nommions « Pépère »

Notre classe de deuxième A se trouvait au premier étage juste au-dessus de l’amphithéâtre. Un soir pendant l’étude, l’un d’entre nous, pris d’un besoin urgent, était descendu aux WC, situés à l’époque dans la cour d’honneur actuelle.

Il s’était rendu compte que le directeur faisait sa ronde dans les classes du rez-de-chaussée. Il se dit : « aussitôt fini, je remonte en vitesse prévenir les copains ».

Mal lui en prit, malgré sa rapidité, le directeur, cependant plus lent, le suivait de très peu. Notre héros ouvrit la porte et cria : « tus ! Les mecs, voilà pépère ! ».

Le directeur n’en crut pas ses oreilles ;  en entrant dans la classe, il saisit le camarade à l’épaule , lui fit faire volte-face et lui dit : « je sais que vous m’appelez tous pépère mais je n’aime pas qu’on me le dise en face ! »

Un silence glacial retomba sur la classe aussitôt après le brouhaha que nous fîmes en nous levant pour saluer l’entrée de Monsieur le Directeur.

Nous nous demandions tous qu’elle allait être la sanction ? Croyez-moi, il n’y en eut aucune. « Pépère » méritait bien son surnom !


Quel contraste avec l’intendant Viseux qui était pour nous le père Fouettard. Chaque jour il distribuait les colles pour service de nettoyage mal fait, chaque normalien avait, aussitôt après le petit déjeuner, une corvée de nettoyage à remplir. Dès la rentrée, l’intendant nous réclamait la masse ; "la masse contre la casse" ! C’était une garantie monétaire pour assurer le remboursement d’une éventuelle dégradation que nous aurions pu commettre, les retards de paiement étaient sanctionnés par des colles, cet argent placé rapportait son intérêt.

L’intendant était très intéressé, il portait bien le nom d’économe. C’est peut-être à cause de cette qualité poussée à l’extrême qu’il s’est vu suspendu de sa fonction, en somme victime du métier ! Ou accident de travail !"


Ce témoignage sur l'intendant Viseux et l'utilisation controversée de la "masse" est corroboré dans un précédent article rédigé par notre regretté camarade, Jacques Colpart, (promo 50 52, dont voici le lien Du bon usage de la masse



On peut trouver l'original de la lettre manuscrite de René Maquet en cliquant sur le lien suivant :






lundi 23 décembre 2019

Histoire d'en rire, René Maquet se souvient d'une anecdote croustillante

L’intendant, victime d’une opération de bourse

Un fait divers de la promo 48 52 qui comptait 60 élèves répartis en deux classes de seconde, A et B.




MICHEL DELANNOY
En deuxième B, se retrouvaient deux copains anichois : Michel Delannoy et Jean Holle. Je dois vous dire qu’à Aniche, les jeunes garçons sont surnommés « les kiens ». Pourquoi ? Peut-être parce qu’ils sortent de « l’Aniche ». Quand des parents réprimandent des enfants trop turbulents , ils ne manquent pas de dire : « arrêtez ed’faire les kiens ! »
Nos deux Anichois, Michel et Jean, faisaient assez souvent « el kieins », ils poussaient même de petits cris dans leurs jeux, comme de petits chiots qui s’attrapent par la queue.
Après la seconde guerre mondiale, les écoles normales, fermées pendant l’occupation, s’ouvrirent à nouveau en 1945. Notre promotion n’était que la quatrième d’après guerre. Quand nous avons passé le concours d’entrée, le rationnement existait encore, il fallait apporter nos tickets. Nos parents ont eu beaucoup de difficultés pour rassembler toutes les pièces indispensables à la confection du trousseau. Michel, qui était déjà d’une grande taille pour son âge, avait réussi à enfiler un beau costume noir qu’il avait hérité du mariage de son père. Dans tout l’établissement, il n’y avait que deux personnes qui portaient un costume noir : Michel et l’intendant.
Tant et si bien que, vus de dos, l’intendant et Michel étaient si ressemblants qu’ils pouvaient être confondus . C’est ce qui arriva.
L’intendant, aussi nommé économe, l’était réellement et même un peu trop. Il avait fait sien un uniforme noir de normalien retrouvé dans le grenier parmi les archives. Quand on sait que le port de l’uniforme avait été rendu obligatoire aux normaliens par arrêté ministériel du 27 avril 1879, on peut dire, sans trop se tromper que le costume de l’intendant datait de la fin du XIXe siècle.
Quand la cloche sonnait l’heure du repas, nous nous précipitions, toutes les promotions confondues, devant l’entrée du réfectoire. L’intendant, campé au milieu des marches, une feuille à la main, attendait que le regroupement soit complet. Il nous informait alors de ses dernières décisions, il citait les noms des collés : corvées de nettoyage mal faites, dégradations commises, montant des sommes à prélever sur la masse ; puis, faisant  demi-tour sur lui-même, il nous indiquait ainsi que l’entrée au réfectoire nous étais permise. C’était la ruée ! Confusément, 240 affamés se bousculaient , pressés de joindre leur place à table. Dans cette précipitation, un malheureux hasard du mouvement fit que Jean Holle se trouva placé derrière un pantalon noir qu’il crut reconnaître comme étant celui porté par son copain Michel, l’idée lui vint, juste au moment précis où les deux jambes s’écartaient pour gravir une marche, d’introduire sa main droite entre les deux, de saisir violemment ce qui se trouvait à l’intérieur du pantalon. L’intendant, surpris d’une telle audace, resta figé, puis se retourna sur sa droite. Jean Holle, s’étant rendu compte de sa méprise, s’échappa sur la gauche. Il était sauf ! Rejoignant Michel, il lui raconta comment, grâce a sa souplesse de félin , il venait d’éviter le conseil de discipline, peut-être même l’exclusion. Ouf ! Il en était encore tout pâle.
La main, c’est comme la langue, il vaut mieux la faire tourner 7 fois avant de s’en servir

René Maquet



rene.maquet@sfr.fr

samedi 4 mai 2019

Michel Delannoy, de la promo 48-52, doyen de notre assemblée générale du 28 avril, nous partage deux photos qui le représentent dans le parc en compagnie de sa copine de promo et sur un autre cliché à l'occasion du Père cent 1952 où tous ses camarades lui ont signé une dédicace au verso

Voici ce que Michel nous a écrit, de retour chez lui pour illustrer sa photo d'époque : 
"Nous avons passé un excellent moment dans notre chère  EN ; avec le plaisir de de te rencontrer, pour la petite photo , si tu le souhaites, tu pourrais légender : "un philosophe normalien lutinant une normalienne dans le parc de  l'ENF. Dans les années cinquante, Michel et Marie-Madeleine. C'était le vert paradis des amours adolescentes qui se sont souvent terminées par un mariage."
Amitiés 
Michel Delannoy (promo 48-52)


A-t-il beaucoup changé ? Son regard espiègle est toujours le même en tout cas








Le voici, à notre journée du 28 avril, en conversation avec ses camarades de promotion (le 2è en partant de la droite)

mardi 27 novembre 2018

Un petit coucou d'un de nos vétérans, Michel Delannoy de la promo 48 52, né le 16 Novembre 1932. Il est, avec Jean Dujardin et René Maquet, fidèle à notre assemblée générale et se promet d'en être en 2019 si ...


Je me suis connecté à facebook ( je ne  l’étais pas)  et j ai eu beaucoup de plaisir à tout parcourir ; il y a  un moment je t’avais envoyé  2 articles :" j avais 17 ans  en 1950 " et" hommage au peuple polonais"
que je n ai pas retrouvés , tu m as aussi pris en photo  lors de Assemblée générale 2018  Ce n'est pas grave , merci , amitiés 

    MICHEL DELANNOY   48- 52 


ps : Comment vas-tu ? ? Pour ma part, je réponds : pas encore  meu-meu et je me meus encore ! (humour !!) Au  28 avril ! ( si Dieu (?)  le veut !!

Pour l'aider dans ses recherches, voici les deux liens du blog qui le concernent directement puisqu'il en est l'auteur :


https://engiufmdouai.blogspot.com/2013/05/on-nest-pas-serieux-quand-on-17-ans-et.html


https://engiufmdouai.blogspot.com/2013/05/coup-de-coeur-de-michel-delannoy-promo.html

vendredi 31 mai 2013

"ON N'EST PAS SÉRIEUX QUAND ON A 17 ANS", ET POURTANT... séquence nostalgie

J'avais 17 ans en 1950. A  l'époque, le samedi  n'était pas férié et très peu de jeunes possédaient une voiture.
Quid des loisirs ? Par exemple, le dimanche, vers 17h, un car nous emmenait vers la ville voisine , DENAIN, où nous nous partagions entre 2 dancings ( on ne disait pas encore discothèque ou boite de nuit) le  Sélect et le Fantasio. Chacun  de ces établissements était doté d'un superbe orchestre d'au moins 6 musiciens qui nous faisait danser, en couples, jusque à minuit , horaire impératif du car qui nous ramenait vers nos villages respectifs. Nous étions heureux et insouciants : nous ignorions , bien-sûr, ce qui nous attendait  quelques années plus tard. En effet, 2 Millions de soldats du contingent , NOUS , allions faire la guerre en Algérie, pour une solde dérisoire ! Certains y restèrent  28 mois, d'autres hélas (30.000 !) y perdirent la vie. Et parmi eux, bon nombre d'enseignants  à la carrière à peine entamée... Les maires des communes concernées étaient chargés d'annoncer aux familles les décès de ces soldats morts pour la France, en toute discrétion, il en était de  même pour les funérailles qui avaient lieu presque à la sauvette !

Autre temps, autres mœurs !

(cet article est paru dans la  VOIX DU NORD édition de  Denain en mars 2013)

vendredi 17 mai 2013

COUP DE COEUR DE MICHEL DELANNOY promo 48-52



Notre collègue Michel Delannoy nous a envoyé la copie d'un billet d'humeur qu'il avait adressé à la presse en 2012 et qui était paru dans "La Voix Du Nord" au courrier des lecteurs, mais aussi dans la revue "Notre Temps", mensuel National. Son article est d'autant plus touchant qu'il n'est lui-même pas d'origine polonaise. Dont acte.
Lisez plutôt...
(Pour cela, cliquez avec la souris sur l'image ci-contre, ce qui la rendra instantanément plus lisible)