Paul Lauerière, promo 59 63, ancien maire de Saint-André, n'est plus. Un dernier hommage lui a été rendu lors d’une cérémonie qui a eu lieu le samedi 2 mars 2024 à 10 heures au restaurant scolaire Bernard Loiseau auquel vous accèderez par l’école Jules Ferry, rue Chanzy à Saint-André-lez-Lille.




Photographie de Paul LAUERIERE

                                            SAINT-ANDRÉ-LEZ-LILLE

Paul LAUERIERE

Ancien maire de Saint-André-lez-Lille de 1989 à 2001
Maire honoraire
Membre du Parti Socialiste
Ancien professeur d’éducation physique et sportive
Président fondateur de l’ARLEP
Administrateur de l’ARTES, du GIHP,
de Vacances du Cœur
Ancien président des associations OSLO, club Léo Lagrange, et Vacances Léo Lagrange
Fondateur des associations IEF, CAP, SAS Formation, SAS Insertion, La Clef, Boréal, Kivala

nous a quittés à Lille le lundi 26 février 2024, à l’âge de 82 ans.

De la part de 

Danielle LAUERIERE-DELEAU, son épouse, 
Sophie LAUERIERE et Yves LAGUERRE, Romain, Arthur, 
Hélène LAUERIERE et Hervé FOLL, Jules, Adrien,
ses enfants et petits-enfants,
toute la famille et ses nombreux amis.

Vous qui l’avez connu, aimé et estimé êtes invités à vous joindre à ses proches pour lui rendre un dernier hommage lors d’une cérémonie qui aura lieu le samedi 2 mars 2024 à 10 heures au restaurant scolaire Bernard Loiseau auquel vous accèderez par l’école Jules Ferry, rue Chanzy à Saint-André-lez-Lille.

Assemblée au restaurant scolaire à 9 h 30. 

Merci de n'apporter ni plaques, ni fleurs. Vous pourrez faire un don à la Ligue contre le cancer. Une urne sera disposée à l’entrée de la salle, à cet effet.

Dans l’attente de ses funérailles, Paul repose à la chambre funéraire Jacques Lefevre, 136 avenue de Lattre de Tassigny à Saint-André-lez-Lille.

LEFEVRE services funéraires
136, avenue de Tassigny - SAINT-ANDRE
✆ 03.20.42.22.78


 L’ancien maire de Saint-André  

Paul Lauerière est décédé 

PAR JEAN-CHARLES GATINEAU

jcgatineau@lavoixdunord.fr

Maire de Saint-André de 1989 à 2001,   Paul Lauerière est décédé dans la nuit   de lundi à mardi à l’âge de 82 ans. 

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SAINT-ANDRÉ.

Paul Lauerière luttait contre la maladie depuis des années. Il a quitté ses proches à l’âge de 82 ans dans la nuit de lundi à mardi. Fils de paysan, Paul Lauerière a grandi à Nieurlet près de Saint-Omer. « Chez moi, on n’avait pas le droit de parler politique », nous avait-il raconté à l’occasion des 50 ans de Mai 68. Lui qui ne parlait que flamand jusqu’à son entrée à l’école à 5 ans, est diplômé de l’école normale en 1962. Il deviendra professeur d’éducation physique. Il est nommé au « collège d’enseignement général » de Saint-André, il y restera 20 ans. Son épouse Danièle, était institutrice aux Peupliers (le couple a eu deux filles, Sophie et Hélène). Paul Lauerière dirige le premier centre aéré de la ville. Plus tard il lancera la Maison de la jeunesse et de la culture (MJC), s’investira dans le club Léo-Lagrange et par ailleurs dans l’Agence nationale des chèques vacances (ANCV). Footballeur « Paulo », était aussi impliqué dans l’Union sportive de Saint-André (USSA).

HUMANISTE

C’est après la défaite de la gauche en 1974, que Paul Lauerière s’investit politiquement au sein du parti socialiste ; il a fait la connaissance de Bernard Derosier, alors instituteur à Saint-André, qui deviendra député et président du conseil général du Nord. Il se présente aux élections municipales de 1977, pas par souci de carrière politique, nous expliquait-il, mais parce qu’il trouve alors injuste que le maire de l’époque « n’ouvre pas la cantine le midi pour nourrir les enfants ». Sa liste ne sera pas élue. Après un nouvel échec en 1983, Paul Lauerière devient maire en 1989 en prenant une ville historiquement au centre. « Ce n’était pas une fierté en soi (d’avoir pris la ville au centre), je me présentais surtout parce que je trouvais qu’il y avait trop d’injustices dans la ville. » Il sera réélu en 1995 avant d’être battu par Olivier Henno en 2001. Il reste alors conseiller municipal dans l’opposition pendant un peu plus d’un mandat. En 2009, il quitte le conseil pour laisser Hélène Parra prendre la tête de l’opposition. Il nous avait alors confié ce qui l’avait rendu le plus fier durant ses années à la tête de la ville : « En 1989, il n’y avait pas de crèches-garderie. Je me souviens de mômes qui attendaient tout seuls avec une clé autour du cou devant la porte de l’école maternelle… » En 2009, il y en avait trois.

Social, humaniste, Paul Lauerière, devenu maire honoraire en 2010, avait aussi fait du mal-logement un combat, notamment à travers l’association OSLO.



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Ancien Maire, Paul Lauerière a marqué de son empreinte la vie locale, consacrant sa vie à l'éducation, à la jeunesse et au sport, incarnant pleinement les valeurs de la commune au quotidien.

Paul Lauerière : Une vie dédiée à la Jeunesse et à Saint-André



La Ville de Saint-André déplore le décès de Paul Lauerière, survenu le lundi 26 février à l'âge de 82 ans.

Ancien Maire de la Ville et Maire honoraire depuis 2010, Paul Lauerière a marqué de son empreinte la vie locale de Saint-André, consacrant sa vie à l'éducation, à la jeunesse et au sport, incarnant pleinement les valeurs de la commune au quotidien.

Originaire de Nieurlet près de Saint-Omer, Paul Lauerière a élu domicile à Saint-André dès l'âge de 12 ans. Son attachement à la Ville a été renforcé au fil des années, nourri par son désir de contribuer activement à son développement.

Son parcours professionnel débute avec une formation à l'école normale d'instituteurs de Douai, où il rencontre Danielle, sa camarade de classe mais aussi sa voisine de rue, elle deviendra son épouse. Ensemble, ils s'engagent résolument pour une vie commune, marquée par deux filles, Sophie et Hélène.

Dès ses débuts professionnels à l'école Jules Ferry en 1963, Paul Lauerière montre son dévouement à l'éducation. Son implication ne se limite pas à l'enseignement, mais s'étend également à la vie associative de la commune. Aux côtés de son épouse Danielle, institutrice à l'école des Peupliers, il consacre une part de son temps à la surveillance des temps méridiens au restaurant scolaire, témoignant ainsi d'un engagement familial profond envers l'éducation. Ses deux filles sont inscrites à l’école des Peupliers et déjeunent au Restaurant scolaire des Peupliers.

Sa passion pour le sport le conduit à devenir professeur d'éducation physique et sportive au collège Jean Moulin en 1964. Convaincu du rôle essentiel du sport dans l'éducation des jeunes, il développe les associations sportives au sein de l'établissement, offrant aux élèves des opportunités d'épanouissement en dehors des heures de cours.

Parallèlement à sa carrière d'enseignant, Paul Lauerière s'investit pleinement dans la vie associative de Saint-André. Il crée et dirige le premier centre aéré municipal, puis contribue à la fondation de la Maison des Jeunes et de la Culture ainsi que du Club Léo Lagrange, démontrant ainsi son engagement constant pour la jeunesse.

Elu d’opposition depuis 1977, c’est en 1989 que Paul Lauerière accède à la fonction de Maire de Saint-André pour deux mandats au cours desquels il insuffle une dynamique nouvelle à la Ville. Son investissement pour la jeunesse se traduit par la création de structures telles que les crèches et garderies municipales, répondant aux besoins croissants des familles andrésiennes. Sa lutte contre le mal-logement témoigne également de sa volonté farouche de construire une Ville inclusive et solidaire.

Malgré sa défaite électorale en 2001, Paul Lauerière demeure un acteur incontournable de la vie politique locale en tant que Conseiller municipal d'opposition jusqu'en 2007. En reconnaissance de son dévouement indéfectible envers la commune, le Conseil municipal lui décerne en 2010 le titre de Maire honoraire, consacrant ainsi son héritage politique et humain.

Jusqu'à ses derniers jours, Paul Lauerière demeure un fervent défenseur des valeurs qui ont guidé sa vie : engagement, créativité, dynamisme et passion. Son départ laisse un vide immense dans le cœur des Andrésiens, mais son héritage perdurera à travers les actions qu'il a initiées et les valeurs qu'il a incarnées. Elisabeth Masse, le Conseil municipal et les agents de la ville adressent à son épouse Danielle, ses enfants et toute sa famille leurs très sincères condoléances.

Paul était au banquet de l'amicale en avril 2023. Ce petit clip vidéo de Paul Majowski en témoigne 


Des témoignages sur notre page Facebook :

Serge Saint-leger
Sincères condoléances à la famille et aux proches. Que Paul repose en paix

Yvette Smedts
Un fidèle des fidèles est parti ...de notre promo 59 / 63 ...sincères condoléances à sa famille ...mais il était trop jeune !!! 😢😢😢

Regis Caillau
nous étions copains de promo et j'ai eu l'occasion de le retrouver au PS et à la fédération Leo Lagrange ainsi que dans mes fonctions à la mairie de la Lille et à la CUDL


Jacques Hornez
Bonjour merci de nous avertir j'ai eu la chance de rencontrer Paul quand il était aux chèques vacances dont le siège était à l'époque à la MGEN de Lille mais aussi Danièle son épouse avec qui j'ai organisé la partie hébergement du congrès du SNI et l'AG de la MGEN ( nous n'étions qu'un des maillons de l'organisation mais je me souviens que Paul nous était d'une aide bien précieuse) qu'il repose en paix il a tant donné pour les autres

Au sous-sol de l'aile gauche de l'école normale d'instituteurs, l'orchestre de jazz était souvent en représentation. Francine Malexis, professeur de 1965 à 1984, s'en souvient. Qui se reconnaît sur la photo ?

 JAZZ   EN  SOUS-SOL





L’ article de Bernard Stienne dans le bulletin 121 m’a rappelé l’émotion qui, en 1970, avait envahi la France entière  après l’incendie du dancing le 5 \ 7. J’y ai retrouvé aussi le souvenir de Bernard Villette qui avait été mon élève à l’EN.

Parmi ces élèves il y avait donc les musiciens de l’orchestre de Jazz. A la fin des années 60 ils m’avaient proposé d’assister a leur concert un soir dans la salle bien connue du sous-sol. Ils écoutaient mes cours alors je me devais d’écouter leur musique !!!  Je n’étais pas une grande spécialiste de jazz mais ce soir là j’ai beaucoup apprécié ce morceau TIGER RAGG, un standard légendaire du jazz.

Il me reste aussi une photo : je m’y retrouve dans le rang du haut en sixième position, près de Monsieur Parisis, maitre formateur spécialisé en photographie.

Les normaliens présents se reconnaîtront......

                                                                      

 Francine Malexis

                                                                         Professeur à l’EN 1965-1984



Joël Doise, promo 54 58, prend sa retraite de chef de choeur à "la Villanelle"

Joël Doise, promo 54 58, cherche un successeur à la chorale "la Villanelle" qu'il a fondée et animée de longues années. Voici l'article de LA VOIX DU NORD qui lui est consacré :


La Villanelle recherche  un chef de chœur


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FÉCHAIN.

« Nous avons un besoin urgent de recruter un chef de chœur ! », signale Nathalie Bécu, la présidente de La Villanelle, regroupant une soixantaine de choristes. En effet, Joël Doise, ex-directeur adjoint du conservatoire à rayonnement régional de Douai, a quitté la formation féchinoise qu’il a dirigée en rythmant, pendant plus de 22 ans, des voix diffusant des chants classiques, sacrés ou contemporains pour le plus grand plaisir des mélomanes. « À 86 ans, j’ai décidé de partir. Une décision mûrement réfléchie, pour laisser la place à quelqu’un d’autre », sourit le virtuose, qui gardera « l’excellent souvenir » d’une chorale qu’il assimile à « une famille ».

CHŒUR A CAPPELLA

La Villanelle est un chœur mixte à trois ou quatre voix, majoritairement A Cappella. « Mais un accompagnement au piano peut être envisagé si nécessaire », précise Nathalie Bécu. « Le répertoire peut être renouvelé », ajoute-t-elle. Depuis sa création, La Villanelle a donné en moyenne une dizaine de concerts chaque année dans le Nord et le Pas-de-Calais sous la direction de Joël Doise. P. V. ( CLP)

Les volontaires peuvent contacter Nathalie Bécu au 06 79 28 04 26 ou par mail : becuestrees@orange.fr, afin de convenir d’un rendez-vous. Renseignements sur https://lavillanelle.com/



Un hommage a déjà été rendu à Joël DOISE sur notre blog par Jacques Devienne, en voici le lien : 


https://engiufmdouai.blogspot.com/2022/11/jacques-devienne-promo-67-70-rend.html





Témoignages :

John O'Garra
Je connaissais Joel (surnommé Karl) quand il était un surveillant à l’école normale d’Instituteurs, Rue d’Arras, Douai. Il était a “true gentleman”.
Jack,l’assistant anglais.

Michel Boivin
Je salue cette prise de retraite de Joël avec admiration et souvenirs inoubliables d’un professeur exceptionnel ! Bravo pour sa carrière !

Michèle Stubert :
Je viens de lire l'article consacré à Joël Doise sur le blog de l'ENG.
Je voudrais lui dire combien je garde un excellent souvenir de notre rencontre musicale lorsque je chantais dans la chorale TEMPO., combien j'ai apprécié la qualité de la chorale qu'il a dirigée pendant tant d'années;
Je lui souhaite une bonne "retraite " de la chorale, persuadée qu'il sera toujours présent et actif musicalement.
Michèle Stubert normalienne de 1957 à 1961


Marie-Paule Déruelle
Pion du temps de Michel (Deruelle), apprécié, quelle belle carrière ! Bonne retraite monsieur Doise

Marie-Paule Déruelle
  Michel aussi surnommé Pépère le plus âgé de sa promo 63-67.

Jacques Devienne
Le bulletin de l'amicale des anciens élèves de l'école normale de Douai No 120 de janvier 2023 et le blog ont publié un article intitulé "Joël DOISE La musique une passion à partager." Bonne retraite Monsieur DOISE !

Jl Dessaint
Je l'ai connu au conservatoire de Douai.

Anna Betthsabee
Mon professeur de solfège, orchestre quand j étais petite au conservatoire.
Je l ai retrouvé à la Villanelle où j'ai chanté sous sa direction pendant un moment.
Trop top
Des bons souvenirs de travail, de rigueur, de sens musical...
Merci Mr Doise pour ce que vous m avez appris
🙂😊

Quand le souvenir de Monsieur Pintiaux, professeur de Français dans les années 60 et 70 à l'ENI de Douai influence encore le programme culturel de la ville de Seclin

Nous recevons ce message de Didier Serrurier, promo 68 73 que nous publions avec plaisir :

 


Bonsoir Jean Marie, 

J'envoie ce jour ma ré-adhésion à l'amicale. Par contre, je ne pourrai participer au banquet annuel, avec regret, car j'organise la première édition du festival SECLIN FAIT SON. AVIGNON. Je joins à ce message le programme complet ainsi que l'affiche. Et, preuve étant que l'EN nous a marqués, ce sera une sorte d'hommage à monsieur Pintiaux, qui m'a fait découvrir cette pièce que le lundi 15 avril, je programmerai Huis Clos (page 26). En fait, j'avais pré sélectionné une quarantaine de spectacles, puis je suis allé en voir une vingtaine en Avignon pour, finalement, en retenir huit. Amitiés.

Didier Serrurier, promo 68 73

(Président de la Fédération Française de Moving, Adjoint au Maire de Seclindélégué à la Culture et à la Vie animale)


Voici le lien vers le programme complet de l'agenda culturel de la villle de Seclin :

https://drive.google.com/file/d/16jOHX0s0UetkJnSP8laxsfLcdWQ0kg0g/view?usp=sharing

Christian Lelièvre à l'INSPE de Villeneuve-d'Ascq pour la dictée de la Saint-Valentin en ce 14 février 2023. En voici le texte avec les exercices et leur corrigé

 


Bonjour,

J'ai le plaisir de vous faire parvenir la dictée de la Saint-Valentin et les questions de grammaire et d'orthographe que notre ami Christian Lelièvre a présentées hier après-midi dans les locaux de l'INSPE de Villeneuve d'Ascq.

Bonne lecture !

Bien cordialement,

Philippe Leys, trésorier du secteur



cliquer sur la page ci-dessous pour l'agrandir











Bernard Leroy, promo 64 68, évoque ses années d'école normale et sa passion pour le rugby née à cette époque si riche en événements

 

En 2018, le Bouclier du bénévole au Rugby club RBX a été décerné à Bernard Leroy – actif depuis 1981 (photo Voix du Nord)




En 2023, le stade Carihem a fait peau neuve et c’est le Rugby-club de Roubaix qui s’en réjouit

 

Bernard Leroy, promo 64 68,  est au RUGBY-CLUB-RBX depuis plus de 40 ans dont trois mandats à la présidence, et est aussi le responsable d’une école de rugby qui accueille pas moins de 160 enfants. Ils étaient neuf lorsqu’il a occupé une première fois le poste en 1980. Il nous explique comment l’école normale d’instituteurs de Douai est à l’origine de cette passion pour le rugby. 


“En réponse au petit appel de Jacques.

Pour ma part je n'ai pas pris la plume jusqu'à présent; mais pourquoi pas car il n'est jamais trop tard.

Je fais partie de la promotion 1964/1968, promotion qui a vécu les grèves de 1968 dans les murs de l'EN avec des réunions direction, professeurs, élèves, des manifestations à l'extérieur souvent jusqu'à la place d'armes de Douai en passant par le café dont j'ai oublié le nom qui était le rendez-vous des normaliens et normaliennes.

J'ai connu 2 directeurs: monsieur Jean Clisant à mon arrivée à l'EN jusqu'en 1967, puis monsieur Jean-Louis Virel durant la dernière année 1967/1968.

Nous étions une promotion très sportive avec des élèves dans beaucoup de disciplines: football, basketball, handball, volleyball, athlétisme. J'ai souvenir de rencontres de basketball avec monsieur Clisant sur le plateau extérieur de l'EN à côté de la salle de sports.

Je parlais ci-dessus de rugby. Eh oui, il aura fallu que j'arrive à l'EN venant de ma petite ville de Merville, où, collégien au GEG, je jouais au volley-ball pour pratiquer le rugby. Avec le départ de monsieur Monard, professeur et conseiller technique du comité des Flandres de rugby (ancienne appellation de ce qui est devenu Ligue de rugby des Hauts de France) et l'arrivée d'un nouveau professeur, arrivant du sud de la France, monsieur Jean Michel Cazenave, les quatre classes de seconde de la promo ont pratiqué cette discipline. Je suis donc tombé, comme l'on dit, dans la marmite avec d'autres et je suis toujours dedans au club de Roubaix.

Bien sûr, nous avons connu comme le disait le collègue, le parcours le long du canal grâce à monsieur Joly et même parfois la douche au jet d'eau à l'extérieur sur le plateau de handball.

Promotion sportive vous disais-je car en cette fin d'année scolaire 1967 les équipes de football, de handball et de rugby étions qualifiées pour les finales académiques de l'époque, à Nancy je pense pour le hand, à Lyon pour le foot et à Hendaye pour le rugby !! Peut-être aussi les volleyeurs ? 

Voilà quelques souvenirs... J'en ai encore d'autres car l'année 1967/1968 a été aussi, pour moi et les autres copains investis, l'expérience de la gestion  de la coopérative de l'EN (local situé au sous après le hall où nous avions nos casiers de rangement de certains matériels.

Je prendrais sans doute un peu de temps pour continuer ce témoignage, peut-être avec des photos si j'en retrouve ou si d'autres de la promo en ont ?  


Bernard LEROY promo 1964/1968.

Une belle rencontre parmi bien d'autres. Un jour d'entraînement de l'école de rugby (mercredi après-midi) arrivée au club du président de la FFR de l'époque Pierre CAMOU. (Président de la Fédération française de rugby de 2008 à 2016)
 


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