Gérard Guiot, (promo 65 70) poète et clameur de mots dans son "jardin d'eau et de poésie" à Zuytpeene. Marc Delmotte nous invite à le découvrir

Marc Delmotte


Une belle rencontre


 Le dimanche 3 avril 2022, l'Association des Anciens Élèves de l'Ecole Normale de Douai avait organisé son repas annuel. J'ai saisi l'occasion pour remonter dans le Nord et ainsi revoir ma famille et quelques amis après la pénible période de la pandémie.


Au cours du repas, mon épouse qui ne connaissait pratiquement personne dans l'assemblée a engagé la conversation avec l'un de ses voisins qui semblait bien seul. C'est ainsi qu'elle a fait connaissance avec Gérard Guiot (de la 65-70). Il commençait un peu à regretter de s'être déplacé de Zuytpeene (au pied du mont Cassel) où il habite. Interrogé par mon épouse qui lui demandait comment il occupait sa retraite, il lui a dit qu'il écrivait des poèmes et qu'il pouvait lui en présenter un si elle le souhaitait. Ses voisins dont je faisais partie ont tendu l'oreille et rapidement ont été fascinés par son texte ("Être et Avoir") et surtout par la façon dont il le vivait. Nous venions de découvrir le talent de Gérard Guiot.

Gérard Guiot à droite au premier plan sur la photo avec Marc Delmotte et son épouse en face. Le courant est passé. Le charme a opéré. 


 Depuis quelques années, Gérard Guiot "slame" à la manière de Grand Corps Malade qu'il a eu le plaisir de rencontrer et avec qui il a pu discuter. Gérard se produit en spectacle là où on l'invite et s'il a du temps libre, il quitte Zuytpeene avec son camping-car derrière lequel il a fixé son triporteur jaune et rouge. Quand il arrive dans un village où il compte passer un moment, il prend son triporteur et va inviter les habitants à venir l'écouter gratuitement, un peu comme le font les cirques qui sillonnent le pays.


 Gérard Guiot est déjà passé sur France Culture et plusieurs télévisions régionales des Hauts de France lui ont consacré des reportages que l'on retrouve sur Youtube.



Le jardin d'eau et de poésie de Gérard Guiot, poète, clameur de mots en novembre 2012  (sous la brume) sur Opal TV


Label Flandre sur BFM TV - Le jardin d'eau et de poésie  6 août 2020 Superbe idée de visite à Zuytpeene, le jardin d'eau et de poésie que Gérard Guiot partage avec le public



LE POÈTE AU TRIPORTEUR, Extraits du spectacle de Poésie du 17 mai 2013 , filmé à l'estaminet "des mots à la bouche" par Michel Campo, animateur blog et communication des Mardis d'ailleurs.


Visitez le site internet de Gérard Guiot en cliquant sur le lien ci-dessous

https://gerardguiotpoete.wordpress.com/2020/05/13/regardez-poemele-murmure-de-la-mer-et-des-mots-sur-youtube/


Site internet et blog de Gérard Guiot








Quelques coupures de presse en cliquant sur ce lien

Pierre Genty, promo FP 54 56, s'en est allé.




Voici le message que nous a adressé René Maquet, doyen de notre amicale, à ce sujet :
"Je reçois ce matin une carte de la famille m'apprenant le décès de Pierre Genty à l'âge de 87 ans . Je sais qu'il a
fréquenté l'E N G de Douai , je ne sais si c'est en qualité de F P ou de Normalien , je l'ai connu au cours de ma 
formation de professeur d'agriculture dans les années 1957-1958  . Il était directeur d'école honoraire, ancien combattant de la guerre d'Algérie en tant que sous - officier. Il a été enterré dans la plus stricte intimité selon sa volonté ."

Georges Masclet, promo 66 71, n'est plus

 





Lysiane Masclet, sa veuve, nous fait part du décès ce 23 avril 2022 de notre camarade Georges Masclet (promo 66 71). C'est Stéphan Marcinkowski qui a reçu la nouvelle par téléphone. Nous reproduisons ci-après l'article paru dans la Voix du Nord du 7 septembre 2019 à l'occasion des noces d'or de Lysiane et Georges, dans lequel son parcours professionnel est relaté brièvement.


Sin-le-Noble: Georges et Lysiane Masclet ont fêté leurs noces d’or

C’est Johanne, la fille des époux Masclet, adjointe au maire auprès de Christophe Dumont, qui a procédé à la lecture de l’acte de mariage d’il y a cinquante ans. Outre la famille et les amis, une partie du conseil municipal était présent.



Georges Masclet et Lysiane, née Lereche, se sont connus à l’âge de 17 ans. Ils fréquentaient les thés dansants, notamment l’Élysée à Sin-le-Noble. En 1969, ils décident de se marier. La cérémonie civile sera actée par Paulette Deblock, à l’époque adjointe au maire.

Employée de la société SATDEM de Douai, Lysiane reprend ses études à l’institut d’Anchin pour passer un BTS secrétariat et intégrer les effectifs de la commune de Sin-le-Noble où elle terminera sa carrière comme responsable du patrimoine communal. Instituteur, Georges reprend des cours du soir pour devenir docteur en psychologie et professeur de psychologie du travail à l’université de Lille 3. À son départ en retraite, il sera nommé professeur émérite des universités d’État en récompense de ses états de service

Outre leur premier baiser, échangé lors d’une soirée à un bal à Masny à bord de sa Peugeot 203, le second grand souvenir de leur vie fut la naissance de leur unique fille, Johanne, actuellement directrice de l’Espé de Douai, adjointe aux écoles de la ville sinoise. Elle leur a donné deux petits-enfants, Édouard et Marie-Gaëlle.

Depuis leur retraite respective, le couple vit dans la maison qu’ils ont fait construire en 1970, « leur havre de paix » précisent-ils. Ils y cultivent, « l’art d’être ensemble ».

Gros lecteurs, ils continuent d’apprendre : Lysiane s’initie aux subtilités de la finance avec son petit-fils tandis que Gorges se perfectionne en informatique avec sa petite-fille

L'école après le CM2 en 1950, un témoignage très documenté de Stéphane Tréla (promo 56 60)

L’ECOLE  APRES  LE  CM2  EN  1950.
LE CERTIFICAT D’ETUDES OU L’ENTREE EN 6ème.

A Coutiches comme partout en France, l’école était obligatoire jusqu’à 14 ans. Dans toutes les écoles primaires trois années de fin d’études suivaient le CM2 avec un programme qui changeait tous les deux ans. On y préparait le Certificat d’études primaires.

Le certificat d’études primaires.

A l’emploi du temps de tous les jours, matin et souvent en plus, l’après midi, dictée-questions, problèmes, lecture expliquée. Evidemment, c’était du rabâchage. Le par-cœur était roi.  Mais les élèves finissaient par acquérir de solides notions de base, finissaient par maîtriser l’écriture et l’orthographe comme ce n’est plus de mise actuellement. Intercalées et vite expliquées, des leçons de choses avec quelques expériences, des leçons d’histoire et de géographie. Dessin, musique, éducation physique étaient quelque peu négligés. L’instituteur remplaçait facilement ces matières par une dictée ou des problèmes supplémentaires. Des notions de jardinage pour les garçons, de couture et puériculture pour les filles étaient également dispensées. Tout s’écrivait à la plume d’acier sergent-major et à l’encre violette. Un buvard servait à poser la main, éponger les trop-pleins et les taches qui parsemaient le cahier des maladroits. Il y avait en plus des devoirs du soir qu’on faisait chez soi ou dans la classe si on restait à l’étude après la sortie de 16 h 30. 

Une exception à Coutiches : rentrés de cinq années de captivité en Allemagne, le directeur d’école Maurice Mercier et son adjoint Pierre Castelain appliquèrent les méthodes pédagogiques de Célestin Freinet. Après tant d’horreurs et de misères, nombreux furent ceux qui voulurent construire à la Libération un avenir de jours heureux : l’école en étant l’un des piliers. Textes libres sur la vie courante, linogravures, imprimerie à l’école, 26 écoles correspondantes dans la France entière dont une à Constantine, autocorrection, initiative personnelle, autonomie, furent les bases de cet enseignement exceptionnellement novateur. J’en ai bénéficié. Il a influencé toute ma carrière de professeur. Dans les jurys d’examens j’ai toujours défendu avec succès les copies qui témoignaient d’une pensée personnelle qui ne correspondait pas toujours aux critères  officiels. Je garde soixante-dix ans plus tard un sentiment reconnaissant et ému aux deux instituteurs de ma prime jeunesse.

1) « Le Ruisseau de Coutiches » (1948) journal imprimé à une trentaine d’exemplaires.
2) M. Herreng, successeur de M. Mercier poursuivit l’édition du journal.


L’examen du Certificat d’études pour le canton se déroulait début juin dans les écoles d’Orchies en une journée d’épreuves écrites (dictée-questions, composition française, arithmétique et géométrie, histoire ou géographie ou sciences naturelles) et orales (récitation, chant : Marseillaise obligatoire). Des épreuves sportives avaient eu lieu sur le stade d’Orchies quelque temps auparavant. Le midi, on mangeait sa tartine où l’on pouvait, souvent dans des cafés. Rien n’était prévu pour les élèves qui venaient des villages du canton. Le jury proclamait les résultats le soir même vers 18-19 heures. Il y avait deux premiers prix cantonaux (filles, garçons) : c’était un grand honneur pour le lauréat, son instituteur, le village. Sur la place du village, parents, amis, curieux étaient nombreux à attendre le retour à bicyclette des candidats, des décorations « Reçu » tricolores épinglées sur la poitrine. Des candidats  échouaient. L’instituteur ne présentait pas tous les élèves. Certains étaient présentés par leurs parents. En cas de succès, ils narguaient l’enseignant. Sur une classe d’âge, seule un peu plus de la moitié des élèves obtenait l’examen qui garda longtemps une valeur certaine. On savait rédiger une lettre sans faute !



« Décoration » des lauréats et diplôme du Certificat d’études primaires élémentaires.


Si certains élèves intégraient une 5ème de transition ou partaient dans un collège technique pour un CAP de mécanique ou de menuiserie, les fils de fermiers restaient à la ferme. La plupart des élèves se formait sur le tas chez des artisans maçons, boulangers, menuisiers, rejoignait le monde du travail à la Faïencerie d’Orchies, la Chicorée Leroux, des ateliers de confection La Belle Jardinière à Flines, à Râches, à Pont-à-Marcq. C’était un monde dur pour de jeunes adolescents de 14 ans à la croissance inachevée.

L’entrée en sixième.

Les départs en 6ème restaient rares, surtout chez les filles. Deux garçons en 1951 à Coutiches. On n’était admis en 6ème qu’après avoir subi les épreuves d’un concours d’entrée à Saint-Amand. Au programme : dictée-questions, composition française, problèmes d’arithmétique, résumé de texte.

L’école primaire Jules Ferry et Cours complémentaire de garçons d’Orchies. Il y eut un internat avant la guerre de 1914-1918. (Carte postale ancienne.)


Peu d’élèves partaient dans un lycée où l’on devait être pensionnaire car les transports ne permettaient pas des aller et retour quotidiens comme actuellement. Les deux Cours complémentaires d’Orchies, garçons et filles,  accueillaient la majorité des élèves dans les locaux des écoles primaires. Au cours des récréations, les deux types d’élèves se mêlaient. On s’y rendait à bicyclette par tous les temps.  De Coutiches à Orchies il y avait une piste cyclable entre la Grand’route pavée et la rangée de grands peupliers. Aucun ramassage scolaire. Il n’y avait pas de cantine. Le midi, les élèves se répartissaient dans les différents cafés d’Orchies. On mangeait sa tartine en buvant un verre de petite bière. L’hiver, la cabaretière acceptait de réchauffer les gamelles déposées le matin en arrivant à Orchies.

L’enseignement des Cours complémentaires débouchait après deux années, à l’issue de la 5e, sur le Complémentaire : Certificat d’études primaires complémentaires, indispensable pour passer en 4e.  A l’issue de la 3e et  quatre années d’études, on passait les épreuves du Brevet d’études primaires complémentaires, le BEPC. C’étaient l’écrit et l’oral obligatoire à Lille. On prenait le train dont le moindre retard nous angoissait. On pouvait poursuivre à Orchies deux années supplémentaires en sténo-dactylo-comptabilité. Il y eut également après le BEPC une section préparatoire au Brevet supérieur et aux concours de la fonction publique dont celui d’entrée à l’Ecole Normale d’Instituteurs.

Les Cours complémentaires assuraient uns formation théorique courte pour cadres moyens, petits cols blancs, agents de maîtrise, le programme du BEPC avec une seule langue vivante, sans latin ne permettait pas de poursuivre des études vers le baccalauréat. Le ministère de l’Instruction publique créa par la suite les baccalauréats M et M’ pour ces nombreux élèves issus des Cours complémentaires non latinistes qui étudiaient rarement deux langues vivantes : l’anglais et l’allemand (M), majoritairement une seule : l’anglais (M’). La grande Colette (1873-1954), écrivaine à succès fut une élève du Cours complémentaire de Saint-Sauveur-en-Puisaye. Avec son seul brevet, sans latin ni baccalauréat, elle mania la langue française mieux que certains académiciens actuels !

Evolution. 

Scolarité jusqu’à 16 ans, tous les CM2 en sixième sans concours d’entrée, multiplication des collèges, cantines, bus scolaires gratuits, conseils de classes,  omniprésence des parents d’élèves, conseils d’orientation, informatique, 80 % d’une classe d’âge obtenant l’un de la cinquantaine de baccalauréats différents, un certain laxisme généralisé représentent des changements considérables. Sont-ils positifs pour les élèves actuels qui restent très mal classés dans les comparaisons internationales ? On serait désormais un adulte mieux formé quand on intègre le monde du travail. Quant à la culture générale, même celle de nos élites …, les réseaux sociaux y pallient.                

Stéphane Tréla.

Stéphane Tréla au banquet de l'amicale le 3 avril 2022



L'Assemblée Générale de l'amicale des anciens normaliens de Douai s'est tenue au Volubilis ce dimanche 3 avril 2022. En voici le compte-rendu

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE du 3 avril 2022



 Accueil du Président


« Tout d’abord je voudrais vous remercier d’avoir bravé les intempéries et les risques liés à la pandémie pour être présents aujourd’hui pour la 1e AG post covid.

Nous avions envisagé l’ENG comme d’habitude mais les incertitudes et les risques d’annulation de dernière minute nous ont incités à choisir la sécurité du volubilis au lieu du risque d’une annulation de dernière minute par la direction du lycée d’excellence.

Comme vous, nous aurions préféré retrouver les locaux de notre jeunesse mais espérons que ce n’est que partie remise et que 2023 nous permettra de retrouver nos habitudes dans notre vieille ENG.

Ce n’est pas sans une certaine émotion que je m’adresse à vous aujourd’hui en lieu et place de celui qui a présidé cette amicale pendant de  nombreuses années. Stephan Marcinkowski a souhaité depuis 2 ans prendre du recul pour raison de santé et nous avons dû  prendre en compte cette décision.

Pendant 2 ans le CA a géré les affaires courantes, en particulier grâce à l’informatique. Le blog et la page Facebook gérés par Jean-Marie Devaux  ont permis à l’amicale de survivre en attendant des jours meilleurs en 2023.

Cette année a vu revivre le bulletin dans une version nouvelle et dans un temps de réalisation très court. Merci de nouveau à Jean-Marie Devaux qui a su nous sortir le bulletin 2022 en quelques semaines alors qu’il nous fallait habituellement plusieurs mois.

L’association se trouvant sans président et les candidatures ne se bousculant pas, j’ai accepté d’assurer provisoirement cette fonction pour la survie de l’amicale. Mes réticences dues à mon éloignement géographique ont été apaisées par les membres du CA, en particulier les douaisiens qui m’ont assuré de leur soutien.

J’ai donc accepté cette présidence provisoire dans un seul but, celui de continuer l’action du Président Stephan Marcinkowski sur les buts de l’amicale.

Permettez-moi, à ce sujet, de relire ce qu’il écrivait en 2013 sur le rôle de l’amicale : 

« Maintenir un lien entre les anciens élèves de l’Ecole Normale d’instituteurs, qu’ils aient fait carrière dans l’enseignement en tant qu’instituteurs, professeurs des écoles intégrés ou non, professeurs certifiés, professeurs d’université, inspecteurs, principaux de collège, proviseurs ou même dans toute autre activité. Les amicalistes proposent leurs documents de souvenirs ou des articles culturels. ».

J’y ajouterai « renforcer les liens avec l’amicale sœur de l’ENF » comme nous le faisons aujourd’hui en retrouvant enfin un banquet commun.

Divers projets pour la survie de l’amicale, par des réorientations ou intégrations diverses sont proposées.

Notre ciment unique, ce sont les quatre années (3 ou 5 pour certains) que nous avons passées dans nos locaux de l’ENG. C’est le seul lien qui nous unit par-delà les divergences qui nous séparent, des carrières différentes, des choix de vie différents, etc…  Tout cela disparait au sein de cette amicale, en particulier lorsque nous nous retrouvons chaque année dans nos murs.

Si nos 2 amicales (filles garçons) existent encore c’est pour cette unique raison alors que d’autres ont disparu depuis longtemps (ex l’amicale de l’EN de Lille où certains d’entre nous sont passés et qui n’a connu qu’une existence éphémère).

Notre lien ce sont les années d’internat et rien d’autre.

Certes nos effectifs se réduisent et les 2 amicales vont vers l’épuisement des effectifs, c’est inévitable et nous le savons. C’est une des raisons du rapprochement avec les filles, mais pas la seule car il y a (ou il y a eu) de nombreux couples normaliens- normaliennes de même promotion et de promotions voisines (j’en fais partie).

J’insiste sur le fait que nos 2 amicales ont le même but et la même origine et c’est ce qui fait leur force et leur originalité qu’on ne retrouve dans aucune association voisine, douaisienne ou autre.

Stephan Marcinkowski a toujours voulu une amicale indépendante, j’insiste sur le mot, ouverte à tout normalien et c’est dans cette direction que je vous propose de continuer.

Personnellement, je n’ai pas fait la carrière professionnelle de Stephan Marcinkowski et je n’ai pas son réseau d’influence.

Normalien de la promo 61 65, marié en 1965 à une normalienne de la même promo, j’ai enseigné du premier jour au dernier jour de 1967 à 2004, de professeur CEG à certifié hors classe et chargé de cours à l’université. J’ai vu mon épouse, je veux ici lui rendre hommage, passer toutes les étapes d’institutrice à IEN jusqu’à son décès brutal en 1998 mais nous étions heureux chaque année de retrouver à l’ENG des copains et des copines de promo, Stephan aurait dit « camarades de promo » !, en regrettant depuis des années la distance entre les 2 amicales et si  je réussis le rapprochement filles garçons, j’aurai été utile à l’amicale.

Le temps est venu de passer aux différents rapports. Je passe la parole à Paul Majowski pour la présentation du rapport d’activités. Je vous remercie. »



Vote des différents rapports : 

Rapport d’activités : (présenté par Paul Majowski, secrétaire adjoint)

« Depuis la dernière assemblée générale du 28 avril 2019 le conseil d’administration s’est réuni deux fois :


Le 26 janvier 2021 à Lewarde (grâce à André Léger). Points abordés :

Stéphane Marcinkowski démissionnaire non remplacé faute de candidatures.

Pour assurer l’avenir de l’association 4 solutions envisagées :

fusion avec l’amicale filles

rattachement à une association existante ou à créer au Lycée d’excellence

intégration à une association ouverte à tous

rattachement à la FDAL

Cotisation maintenue à 25€

Consulter le blog et/ou le site (adresses dans le bulletin)

Contacter Didier Delécolle pour réagir.


Le 6 octobre 2021 au lycée d’excellence.

Aucune candidature pour succéder à Stéphane Marcinkowski. Chaque membre garde ses fonctions .

Liste des courriers reçus.

Format du bulletin maintenu.

Accord de Mme la Proviseure du lycée d’excellence pour une AG et la commémoration du 11 novembre.


Le 11 novembre 2021 dépôt de gerbe au monument que surplombe la statue d’Hercule.


Le 12 novembre 2021 commémoration de l’Armistice au lycée d’excellence en présence des élèves du cycle 3 de l’école Andrieu-Parent, de M. l’Inspecteur de l’Éducation Nationale, des membres du CA et des personnalités (dont deux officiers du 41e Régiment de Transmissions Quartier Corbineau Douai.)

Jean-Marc Wasielewski fils et petit-fils de mineurs polonais est le nouveau patron de la brigade de transmissions et d’appui au commandement).


Le 20 novembre 2021 plusieurs membres du CA ont assisté à la remise des Palmes Académiques de Bernard COGET (Mairie d’Aniche)


Le 26 janvier 2022 à Lewarde. En présence de Mme Leblanc présidente et de Mme Caboche secrétaire de l’amicale fille.

Hommage à Stéphane Marcinkowski pour ses 40 années de présidence.

Lecture des comptes rendus de CA du 27 janvier 2021 et du 6 octobre 2021.

Cotisation de 25€ versée par la majorité des amicalistes.

Candidature de Michel Bonfils, comme président provisoire jusqu’à la prochaine AG.

Restaurant Volubilis pour le CA, l’AG et le repas le 3 avril.

En 2022 encore deux AG séparées mais consultations à prévoir pour une fusion en 2023.



Pour mémoire :


Le 22 février 2022 le bulletin 119 est imprimé


Le vendredi 18 mars D. Delécolle rencontre Mme LEBLANC et Mme CABOCHE à l’école Gounod de Waziers pour établir les plans de table au Volubilis


En ce jour du 3 avril 2022 nous ajoutons 3 noms à la longue liste nécrologique :

Germain HUART promo 53-57 le 9 janvier 2022

Guy MOREELS promo 57-61 (78 ans) le 3 mars 2022

Jean-Marie-FOVEAU promo 56 60 le 17 mars 2022


            Nous ne les oublions pas, ainsi que les 37 collègues décédés dont vous trouverez la liste dans le bulletin,  et nous adressons à leurs familles nos sincères condoléances.


                      

Le président propose à l’assemblée de respecter une minute de silence



Rapport soumis au vote de l’assemblée et adopté à l’unanimité.



rapport financier


Lecture et commentaire de ce rapport par Alain CARRÉ, trésorier.


Sans autre remarque, le rapport est adopté à l’unanimité.

Le président annonce la désignation de Bernard Coget au poste de vérificateur aux comptes et viendra suppléer Alain Carré (trésorier) et Michel Wencel (trésorier adjoint). (accès aux comptes en ligne)



Postes à pourvoir au CA :

      Le secrétaire s’adresse à l’assemblée concernant les postes à pourvoir au sein du CA :

            6 Postes sont à pourvoir ou à renouveler :


3 postes à pourvoir : 

ceux de Stephan Marcinkowski (démission pour raison de santé après 40 ans de bons et loyaux services !), de Maurice Despretz et de Roger Facon.


3 postes à renouveler : ceux de Bernard Coget, André Léger et Michel Wencel  


Appel à candidature lancé dans le bulletin et sur le blog : aucune candidature reçue à ce jour .


Parmi les membres du CA, Michel BONFILS a fait acte de candidature au poste de président et a été élu pour au moins 1 an. D’après les statuts le vote en AG n’est pas obligatoire mais Michel Bonfils souhaite soumettre sa candidature à l’approbation des membres de l’AG.


Cette candidature est soumise au vote des membres de l’AG (à main levée)


Résultat : élection adoptée à la majorité absolue

Michel BONFILS est officiellement élu nouveau président de l’amicale. 



Bernard COGET, André LEGER et Michel WENCEL ont renouvelé leur candidature et ont souhaité maintenir leurs fonctions au sein du CA.


Ces candidatures sont soumises au vote des membres de l’AG (à main levée pour ces 3 postes)


Résultat : élection de ces 3 membres à la majorité absolue  

Bernard COGET, André LEGER et Michel WENCEL 

sont donc élus pour une période de 6 ans.



Questions diverses : 

Les nouveaux statuts de l’amicale ont été présentés lors de la dernière AG de 2019 mais n’ont pas été approuvés lors de cette AG. Il est donc demandé à l’assemblée de se prononcer sur ces nouveaux statuts en votant à main levée.

Résultat : Ces nouveaux statuts sont adoptés à l’unanimité.

Alain Carré rappelle que tous les participants au banquet doivent être à jour de leur cotisation.

La promo 58-62 fête ses 60 ans de sortie.

Rappel de l’adresse du blog de l’amicale : engiufmdouai.blogspot.com 

(les dernières informations y sont publiées, échanges possibles entre amicalistes…)

Date de la prochaine assemblée générale : le 2 avril 2023.

Le président clôt la réunion et invite l’assemblée à se rendre dans la salle de restauration (apéritif offert par l’amicale).            

Le secrétaire : Didier DELÉCOLLE



Voici un diaporama qui résume la journée passée avec l'amicale des anciennes normaliennes



       Compte-rendu du Conseil d’Administration du 3 avril 2022 qui a précédé l'assemblée




Exc

S. MARCINKOWSKI

X

P. MAJOWSKI

A

J. DEVIENNE


X

M. BONFILS

X

J.-M. DEVAUX

Exc

M. RADOUAN


X

A. CARRE

X

C. LELIEVRE

X

A. PRUVOST


X

M. WENCEL

Exc

A. LEGER

X

J. LEDOUX


X

D. DELECOLLE

X

B. COGET




                  X : présent                      Exc : excusé                    : absent



  1. Accueil du président

Michel Bonfils, président par intérim, accueille les membres du CA et le secrétaire rappelle l’ordre du jour :

10h     : CA

11h     : AG

12h30 : Repas en commun avec les filles. (par promotion)


  1. Préparation de l’assemblée générale :

  1. Présentation et vote des différents rapports

Rapport moral : lu par le président. Rapport adopté à l’unanimité.

Rapport d’activité : lu par Paul Majowski, (secrétaire-adjoint). Rapport adopté à l’unanimité.

Rapport financier : Tableau récapitulatif de la situation financière au 15 avril 2021 distribué, lu et commenté par Alain Carré (trésorier). 

Rapport adopté à l’unanimité.

  1. Postes à pourvoir ou à renouveler :

  • 3 postes sont à pourvoir : ceux de Stephan Marcinkowski (démission pour raison de santé  

      après 40 ans de bons et loyaux services !), de Maurice Desprets et de Roger Facon.

  • 3 postes sont à renouveler : ceux de Bernard Coget, André Léger et Michel Wencel.

      Appel à candidature lancé dans le bulletin et sur le blog : aucune candidature reçue à ce jour.

      Voir si d’autres candidatures parmi les membres présents à l’AG.


Bernard Coget, André Léger (après confirmation auprès du secrétaire) et Michel Wencel renouvellent leur candidature à un poste au sein du CA et sont réélues à l’unanimité pour 6 ans.



Questions diverses


  • Message de Mme Chauvierre

  • Courrier de la MAE et liste des adhérents (remis à Alain Carré)

  • Après discussion quant à la situation financière, il est décidé que Bernard Coget est désigné vérificateur aux comptes et viendra en aide à Alain Carré et Michel Wencel. Cela permettra en particulier d’obtenir auprès de la banque postale, qui héberge le compte de l’amicale, des codes (identifiant, mot de passe) facilitant l’accès en ligne des comptes bancaires.

  • Le secrétaire précise le nom des membres dont les postes seront à renouveler prochainement :

  • Michel BONFILS, Didier DELECOLLE, Christian LELIEVRE et Jean-Marie DEVAUX : en 2023

  • Alain CARRÉ, Paul MAJOWSKI et André PRUVOST : en 2024

  • Jean LEDOUX et Jacques DEVIENNE : en 2025

  • La date de l’assemblée générale 2023 devrait être le 2 avril 2023.

(à confirmer après concertation avec l’amicale fille).





                                                                                                                          Le secrétaire de l’amicale

D. DELECOLLE



Voici mes photos prises dimanche.
Nous avons passé une bonne journée mais regrettons l'absence de nombreux camarades. Espérons nous retrouver l'an prochain rue d'Arras.
Michèle Stubert

M.Despretz, Michel Wencel, Francine Malexis.

Jean Ledoux et Maurice Despretz

Francine Malexis et Mme Plancke

Christian Lelièvre et Alain Stubert

Michèle et Alain Stubert


Marguerite Decoutère et Elizabeth Duchatelle 





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