Meilleurs voeux à tous les anciens normaliens de l'ENI de Douai, ainsi qu'à leurs familles, que nous invitons à participer à notre journée de retrouvailles (assemblée générale et banquet) le dimanche 3 avril 2016 dans les locaux mêmes de notre ex-école normale devenue lycée d'excellence Edgar Morin


Une évocation émouvante et littéraire de Popaul et "miss Doum" par Roger Facon, écrivain, et ancien de la promotion 66-69 de l'ENI de Douai dont un précédent article présente l'oeuvre et la biographie, toutes deux impressionnantes

SOUVENIRS, SOUVENIRS...











Le sourire, c'est ce qui m'a marqué le plus chez lui. Toujours le même sourire. Tranquille, un rien désabusé. Comme le regard qu'il promenait sur nous avant de s'asseoir. Monsieur Paul Dumont, dit Popaul. Cette familiarité que l'on prenait avec lui, on la prenait dans son dos. Mais il n'était pas dupe. Il savait que pour nous il était Popaul. Il l'était de classe en classe, de promotion en promotion. C'était comme un héritage. Une donation. Nous en étions les usufuitiers.
Il y avait le nom, le sourire, mais aussi la voix. Et là, tout changeait. La voix était capable de démentir le sourire quand la situation le nécessitait. Quand il nous parlait de Montaigne, par exemple. Parce que là, nous touchions à l'essentiel. Montaigne, vous vous rendez compte ? Montaigne ! Ça n'était pas rien. Courbés sur nos feuilles blanches, nous tentions de laisser courir nos stylos et le miracle se produisait... L'entreprise Baignol & Farjon s'effaçait, elle laissait la place aux plumes d'oie que Montaigne taillait en s'installant à sa table de travail. Nos terrils disparaissaient pour faire place aux vignobles du Bordelais. Un gentilhomme gascon parlait par la voix de Popaul à des gamins du Nord, il leur expliquait gravement que tous les jours vont à la mort et que le dernier y arrive... Mais ça nous passait un peu par dessus la tête. Nous avions la vie devant nous. Et quelle vie ! La vie sous de Gaulle. Une vie pavée... De bonnes intentions, bien sûr. Chacun à sa place. Les ouvriers à l'usine. (Nous étions un paquet de fils d'ouvriers dans notre promo.) Les petits commerçants derrière leur comptoir. Les grands bourgeois aux affaires. Mais tout ça allait bientôt voler avec les pavés. Je me souviens – comment ne pas se souvenir ? - des premiers jours de mai 68 dans la cour de l'E.N., nos blouses blanches comme la page sur laquelle l'Histoire était en train de s'écrire à coups de pavés du Quartier Latin, et nous, sur les bancs, à l'abri des blouses, l'oreille collée au transistor qui égrenait la longue litanie des usines occupées... Nous attendions le Grand Soir dans la douceur du matin, le nez tourné vers les cuisines d'où émanaient les effluves rassurantes du café au lait. 
Plus de Montaigne, en mai 68. Mais Victor Hugo, Gavroche... La chienlit, disait le Général prêt à grimper dans son hélicoptère pour aller voir chez Massu si les Essais de Montaigne y étaient. Du côté de Baden-Baden. Mais ils n'y étaient pas. Ils étaient dans le sourire de Popaul.
Toujours le même sourire. 
Il n'était pas dupe, notre Popaul en grève. Il se doutait bien qu'après la chienlit, il y aurait le retour à l'ordre bourgeois. Mais pour l'heure, sa grosse serviette de cuir fatigué restait fermée. Avec ses polys sur Montaigne et La Boétie. Ses trésors sur Du Bellay et Ronsard. Ses légèretés sur Marivaux.
Je dois beaucoup à Popaul. Ses remarques, ses critiques, ses encouragements m'ont amené à n'être jamais satisfait d'une phrase. À remettre sans cesse l'adjectif et le complément d'objet sur le métier. Mais je ne suis pas le seul, plus d'un usufruitier sait ce qu'il lui doit. Et ce qu'il doit à Miss Doum, sa femme.
Ah ! Miss Doum ! Dieu qu'elle était belle ! Elle l'était comme eût pu l'être une statue effleurée par les doigts de Praxitèle au sortir d'un pot de confiture, car elle ne lésinait pas sur le maquillage, Miss Doum.   Toute la générosité et la gourmandise du pointillisme se lisaient sur ses pommettes. Le fauvisme était loin d'être absent de son regard. Mais sa voix était de miel. Durant nos cours de dessin, je testais sur elle mes plaisanteries pas toujours fûtées et j'avais droit à des répliques   d'anthologie. Car Miss Doum partageait avec son époux la passion des Belles Lettres, dont Alphonse Allais n'était pas exclu. 

Popaul, Miss Doum scellaient à eux deux le mariage de la beauté et du savoir. De la gravité et de la dérision. De l'essentiel et de la futilité. Ils étaient des transmetteurs. Ils nous aimaient, au fond.  Notre turbulence leur faisait du bien. Ils se mettaient en scène devant nous avec tranquillité mais toujours avec pudeur. Leurs cours étaient des leçons de vie. Parfois, ils nous admettaient dans leur intimité. J'ai eu ce privilège en rendant un petit service à Marivaux. Sur scène, avec Jean-Marie Devaux en soubrette. Mise en scène Popaul. Conseil artistique, Miss Doum. Ça m'a permis, plus tard, d'écrire des pièces de théâtre. Et même de monter sur scène ! De longues décennies plus tard... Au Quai du Rire, à Marseille, sur le Vieux Port. A cet instant incomparable où la lumière s'allume. Où vous ne pouvez plus reculer. Où le public fait silence parce que le rideau se lève et qu'il sait que vous allez paraître devant lui. J'ai revu Popaul qui me faisait signe en coulisses qu'il ne pouvait plus rien pour moi, que le temps des répètes était terminé, qu'il fallait y aller...
J'y suis allé.
Popaul a toujours été de bon conseil.

Roger Facon, novembre 2015
Roger Facon, 1966



Dans la série, l'oeuvre des nôtres voici l'impressionnante bibliographie de Roger Facon de la promo 66-71 (qu'il a quittée en 1969 après démission pour se destiner à la police et à l'écriture). Nous espérons sa venue à notre assemblée générale du 3 avril 2016 dans le cadre du jubilé d'entrée de la promotion 66-71

Roger Facon est né à Monchecourt, près de Douai, le 20 janvier 1950. Après avoir été apprenti-verrier et fréquenté l'École Normale d'instituteurs de Douai, il a été éducateur puis enquêteur de police de 1972 à 2000. Depuis 2001, il se consacre entièrement à l'écriture. Il a publié une trentaine d'ouvrages – essais, romans, bandes dessinées – chez divers éditeurs (Robert Laffont, Fleuve noir, Gallimard, Baleine, L'Écailler, notamment).

Après un détour par la science-fiction (Par le sabre des Zinjas, La Planète des femmes, Divine entreprise, Les Serviteurs de la Force, Les Compagnons de la lune blême, tous parus dans la collection "Anticipation" du Fleuve noir), il opte pour le roman noir.
On lui doit dès lors La Crypte (Gallimard, "Série noire") ; Flic suspendu n'est pas ripou & Le Requiem de John Edgar (Baleine) ; Rue Bicon (nommé pour le Prix européen du polar), Atout, Sang pour sang glamour, Par Hasard, Dernier bistrot avant le cimetière & L'Équarrisseur (L'Écailler) ; Sherlock Holmes saisi par la débauche (Baleine, "Noire") ; À l'ombre des jeunes flics en pleurs (Baleine, "Le Poulpe") ; Pour venger Mémère (La Branche, "Suite noire") ; On mourra tous Américains (Le Barbu).
Il intervient à l'École Supérieure de Journalisme de Lille depuis octobre 2007 et au Capep à Anzin.
Egalement comédien, il interprète actuellement Mais que fait la police ?, pièce écrite par ses soins et testée au Quai du rire à Marseille.
Roger Facon vient, très tôt, au fantastique par la lecture de Charles Nodier et Gérard de Nerval. Il s'intéresse parallèlement à l'occultisme à travers l'œuvre d'Antonin Artaud. 
Son premier livre, Quand l'Atlantide resurgira, est un succès de librairie. Pressé par son éditeur, Roger Facon va enchaîner les essais se rapportant à l'occultisme. Les meurtres de l'Occulte (Lefeuvre) fera grand bruit jusque dans les prétoires. Les Rose-Croix vont-ils en enfer? signera avec un léger parfum de scandale son passage chez Veyrier. Suivra L'Or de Jérusalem chez Montorgueil. 
En collaboration avec le regretté Jean-Marie Parent, il publiera également quatre titres chez Robert Laffont, dont La Flandre insolite, dans la légendaire collection les énigmes de l'univers.
En 1980 Il publie son premier polar dans la collection « quotidien fantastique » des éditions Eurédif. Mort au gourou bénéficiera d'un tirage de départ de 80 000 exemplaires. 
Avec La Crypte, Série Noire, publié chez Gallimard en 1997, l'occultisme ne sera pas oublié, loin s'en faut. Mais c'est en 2011 que Roger Facon décide d'effectuer ses véritables retrouvailles avec le fantastique!
Le Saigneur des pierres ouvre une ambitieuse saga qui s'attachera à montrer combien le Nord de la France est une terre magique, riche en mystères.
Dans cette veine, suivront "Entretiens avec un très vieux vampire" chez Engelaere (2013) et "La Templière" chez Black Coat Press, collection Rivière Blanche (2015).


Avec Valérie Bonneton, à l'occasion du centenaire de l'Idéal Cinéma à Aniche, 
le plus ancien cinéma ouvrier du monde



Page de couverture du livre écrit
par Roger Facon sur l'Idéal Cinéma d'Aniche

En guise de voeux, Paul Majowski nous envoie ce bel écu en bois chantourné que lui a offert son camarade promotion (58-62) Pierre Logez. Tout un symbole...

Pierre LOGEZ de la promo 58-62 a chantourné cet écu dans un panneau de bois pour commémorer nos jeunes années à l' ENG de Douai. Ancien prof de SVT, il habite Goyrans (Haute-Garonne), son épouse Véronique était prof en Lycée agricole. Ce sont des fidèles du Nord puisque Pierre a des attaches en Flandre et dans l'Avesnois.

Sur le Web:      pvlogez@yahoo.fr

Michel Boivin, promotion 62-66, nous adresse, de Saint-Jean-de-Luz où il passe une retraite ensoleillée, un appel à tous les anciens de la 62-66 et FP 64-66 pour qu'ils le rejoignent ce dimanche 3 avril 2016 à l'occasion du jubilé de sortie d'EN, dans les locaux de l'ex ENG, devenue lycée d'excellence Edgar Morin, à l'occasion de l'assemblée générale de l'amicale et du banquet traditionnel qui se déroulera dans les locaux-mêmes de l'ex ENG rue d'Arras

Appel à la promotion  62–66 et FP 64-66


Chers camarades, chers amis,

Comme vous tous je n’ai jamais oublié les quatre années de vie commune qui nous ont amené à nos vingt ans ! avec un formidable élan de réussir (comme Jean-Baptiste Carpentier, Joël Delplanque, Hubert Quennesson, Marcel Spillaert et bien d’autres) et même en dehors de notre institution (…je pense souvent à Marcel ! qui a tellement marqué notre promotion !) Cinquante ans après, notre « grande école » nous attend et nous accueille ce dimanche 3 avril 2016 pour fêter notre jubilé.
Malgré nos parcours très différents, nos obligations, nos états de santé, répondons présents à cette journée organisée par notre amicale à l’occasion sans doute de belles retrouvailles !
Amicalement à tous et à bientôt !

Michel BOIVIN



Promotion 62-66

Adamczack Richard. Alliotte Christian. Ansart Jean-Marie. Autem Michel. Beauvillain pierre. Beccart Jacques. Bertinchamp René. Bigotte Jean-Pierre. Boeykens Gérard. Boivin Michel. Bonnot Maurice. BOURIEZ Joel . Boussemart Bernard. Boutée Jean-Claude. Burette Pierre. Caffiaux Alain. Camelet Jacques. Capelle Roland. Carpentier Jean-Baptiste. CARTON Jean-Michel. Casier André. Carenne Léonce. Cattiaux Etienne. Cauchy Gaston. Cauderlier Jean. Chopineaux Bernard. Copin Jacques. Dechy Michel. Demorsey Alain. Delbarre Claude. Delegove Daniel. Deletombe Hervé. Delille Henri. Delinselle Bernard. Delplanque Joël. Delporte Léonide. Delsart Pierre. Denuwelaere Jean-Pierre. Deregnaucourt Jean-Pierre. Dervaux André. Desmarescaux Alexandre. Desor Didier. Détrez Jean-Luc. Dufour Jean-Pierre. Dufour Yannick. Dupont Marc. Dutouquet Michel. Foreau Jean. Foulquier Ghislain. Fouquart Jean-Claude. Gombert Jacques. Gouy Jean-Marie. Gythiel Jean-Pierre. Hennebelle Jacques. Henry Jean-Pierre. Herlemont Daniel. Heusdens Francis. Huart Bernard. Hugue Gilles. Jankowiak Marius. Jean Joël. Lanciaux José. Lartigot Jean-Pierre. Lecat René. Lécluse Francis. Lécutier Jean. Lemettre Gérard. Limbourg Hervé. Marcq René. Masson Jean-Paul. Menet Francis. Menin Attilio. Mériaux  Christian. Menier Jean-Marie. Meurs Jean-Pierre. Monfery Pascal. Morawiec Jean. Morchain André. Navez Pierre. Papin André. Parmentier Henri. Paul Cyr. Pol Guy. Petit René. Podevin Gilles. Posière Jean-Pierre. Pourcelet Michel. Proot Jean-Michel. Quennesson Hubert. Res Daniel. Richez Didier. Souplet Lucien. Spilliaert Marcel. Tétard Henri. Top Bernard. Trioux Sylvain. Vahé Raphaël. Vandenberghe André. Vanhuysberghe Marcel. Vanlabeke Daniel. Van Wyngene Jacques. Wailliez André. Walczak Guy. Wasson Gérard. Wyls Gérard. Wypelier Michel. Zylawski Pierre. 


FP 2 64-66 .

Bize Jean-Paul. Bourlet Pierre. Camier Guy. Caudrelier Martial. Coubrun Jean-Michel. Damien Michel. Delhaye Maxime. Douchet Serge. Dubrulle Gérard. Fontaine Fernand. Fortrie André. Goguillon Francis. Gontier René. Grattepanche Michel. Ruytoor Francis. Van Den Nest Daniel. Vandeputte Daniel. Vanesse Bertrand. Verdenal Christian.


Les photos de la promotion 62-66 retrouvées par nos soins :








PS : si vous avez dans vos archives des photos de meilleure qualité technique, n'hésitez pas à nous les adresser à l'adresse du lien : engiufmdouai@gmail.com 
Nous les substituerons

André Léger, membre du conseil d'administration de l'amicale des anciens de l'ENI de Douai lance un appel à ses camarades de promotion pour des retrouvailles le dimanche 3 avril 2016 dans les locaux mêmes de l'ex EN rue d'Arras à Douai

APPEL A LA PROMOTION 1966-1971

Chers camarades de promotion,
Le 3 avril, nous fêterons nos cinquante ans d’entrée à l’école normale.
Nous sommes entrés adolescents en seconde. Nous avons grandi dans nos corps et nos têtes dans cette institution. Depuis, le temps a passé vite, trop vite. Il a, malheureusement, laissé sur le bord du chemin quelques-uns d’entre nous. Il a, petit à petit, rongé notre jeunesse pour faire de nous des hommes plus que mûrs.  
A titre personnel, mais aussi au nom des camarades qui viennent chaque année aux agapes organisées par le conseil d’administration de notre association, je serais très heureux que nous nous rencontrions tous et que nous battions (pourquoi pas ?) le record de participation d’une promotion au repas.
Certains d’entre nous, normaliens dit détachés, n’ont pas connu les classes préparatoires au bac mais  ont retrouvé le reste de la promo en formation professionnelle.
D’autres ont poursuivi leurs études après le bac et sont devenus professeurs en collège ou en lycée.
D’autres encore ont bifurqué vers d’autres métiers.
Mais, chacun garde au fond de lui de la reconnaissance pour cette institution qui a permis à des fils de familles souvent modestes de réussir un bon et beau  parcours de vie.
J’espère que d’anciens professeurs pourront participer cette année encore à ce rassemblement.
Alors, le 3 avril, vraiment, venez à pied, à bicyclette, à cheval, en voiture, en train ou en avion. Il faut que nous soyons tous ensemble à l’assemblée générale et au repas !
Merci à vous tous qui serez sensibles à cet appel.
André Léger
  


Liste alphabétique de la promotion 66-71 

Augustyniak Michel, Bailleul Jean-Paul, Bailleux Patrick, Bar Marcel, Barbet Philippe, Barbier Jacques, Bataille Robert, Berlinet Alain, Bertin Yves, Bielen Jean-Pierre, Billoir Pierre-Henri, Boidin Roger, Bossy Jean-Yves, Boudzy Marc, Bouquet Jean-Marie, Brasseur Michel, Bridenne Jean-Paul, Brouta Luc. Cabarez Pierre. Caliné Francis. Camerlynck Christian. Capiez Vincent. Carpentier Pascal. Castel Francis. Châtelain Jean-Pierre. Clairbaux Gérard. Clowez Philippe. Coquet André. Coolen Didier. Cornil Jean. Costantino Bruno. Coudevylle Jacques. Coulon Jean-Pierre. Dabrowski Edmond. Daussy Henri. Dailly Gilbert. Decroix Didier. Defossez Alain. Dehondt Michel. Dehove Jean-Marie. Delille Bernard. Delille Claude. Denhez Alain. Depinois Régis. De Potter Robert. De Saint Aubert Joël. Devaux Jean-Marie. Devred Jean-Luc. Dhorne Jean-Michel. Dorchies Michel. Dorsimont Guilain. Dubar Roger. Duchemin Marc. Duez Emile. Dufour Jean-Marie. Dumalte Reynold. Duponchel Gérard. DUPRAT Paul. Durieux Daniel. Dusart Jacques. Dyckmans Jacky. Fabbri Michel. Facon Roger. Famiglietti Antoine. Ferrocino Carlo. Fontaine Daniel. Fontaine Thierry. Fougnies André. Gaïda Reynold. Gaillard Jean-Pierre. Galois Yves Marie. Gaye Patrick. Germano Alphonse. Glorieux Jean-Pierre. Godfroy Bernard. Grassart Patrick. Grzegorek Edouard. Guérin Edmond. Guilbert Michel. Hallez Alain. Hanon Gérard. Hellot Pascal. Heyte bernard. Hidot Serge. Hornez Jacques. Humez Jean-Pierre. Huloux Paul. Jacquart Serge. Jeannin Claude. Krawiec André. Korus Eugène. Landas Bernard. Lartigot Jean-Claude. Laurent Patrick. Lavalard Pierre. Lavallée Roland. Leclercq Jean-Michel. Ledoux Joel. Léger André. Lemang Daniel. Léger Jean-Claude. Lenoir Francis. Lepage Jean-Pierre. Leroy Jean-Paul. Lesone Jean-Pierre. Lesur Christian. Lhoir Bernard. Lippevelde Daniel. Livoye Bernard. Lugand Bernard. Maquignon Jacky. Mariani Yves. Masclet Georges. Melaerts Henri. Merlin Renaud. Mislanghe Jean-Jacques. Mlodorzeniec Bernard. Monier Jean-Paul. Montagne Lionel. Moulart Christian. Mouton Didier. Musielak Georges. Ovion René. Pakosz Alain. Pawlaczyk Jean-Louis. Peers Jean-Michel. Pennel Patrice. Perlein Jean. Pernak Marc. Petit Jean-Marc. Philippot Jean-Claude. Pizzuti Nicolas. Plocinak Michel. Plouchart Michel. Ponthieux Régis. Pouilly Michel. Poulin Alain. Quicampoix Christian. Régnier André. Ricci Hervé. Richard Albert. Roosebeke Dominique. Saeleuve Michel. Sagnier François. Segard Alain. Simon Marcel. Slimani Michel. Sonneville Christian. Stienne Bernard. Szklarz Jean-Pierre. Thys Dominique. Toumelin Daniel. Urbancik Dominique. Valdher Gérard. Vandevyvere Daniel. Vanpeene Michel. Vast Jean-Paul. Vaucelles Bernard. Vercagne André. Vesin Gérard. Veys Jean-Michel. Vitaux Luc. Walkowiak Jean-Charles. Waymel Bernard. Wegscheider Claude.

Liste 66-71 des externes reçus au concours en 1966 et qui ont rejoint l’ENI en 69 après 3 ans passés en lycée.

Anicotte Claude. Bauduin Alain. Boucher Jean-Pierre. Bobby Paul. Brangers Patrice. Carlier Jean-Pierre. Covain  Michel. Dehon Marc. Dewitte Marc. Fassard Bernard. Felez Roland. Feron  Jean-Marie. Guillaume Bernard. Heloir Edmond. Laisne Bernard. Légarez Jean-Louis. Machu Roger. Maes Jean Raphaël. Magy André . Mannechez Patrick. Pamelard  Alain. Pihet Gilbert. Poirette  Bernard. Preux Jean-Michel. Richez Pascal. Sachy Michel. Taquet Ghislain. Thiéry Didier. Tierce Roger. Truck Jean-Luc. Vanbelle Jacques. Vandemeulebroucke Jean-Luc. Wasson Francis. Bernard Christian. Saladin Yves.

Photos des secondes de l'année 1966-67 :











MARC BOUDZY, DE LA PROMOTION 66-71 NOUS A QUITTÉS, C'EST JEAN-PAUL BRIDENNE, SON BEAU-FRÈRE QUI NOUS FAIT PART DE CETTE TRISTE NOUVELLE

Notre ami Jean-Paul Bridenne (66-71) nous annonce ce matin par courriel :

"Triste nouvelle,

Mon beau-frère Marc Boudzy est décédé d'une crise cardiaque hier soir à St-Jean-d'Aulps où il vivait avec son épouse depuis son départ en retraite, après avoir été directeur d'école et un temps Adjoint au Maire à Morzine.
Je transmettrai des informations plus complètes à destination des anciens de la 66/71 et de ceux qui l'ont connu à L'ENG.
Amitiés"
Jean-Paul Bridenne


Son parcours :


Originaire de Valenciennes, né le 09 février 1951, il allait avoir 65 ans. Il avait été nommé instituteur à Hornaing en 1971 à la sortie de l'Ecole Normale puis à Lallaing à l'École des Hauts-Prés. La santé de sa fille Gaëlle avait conduit sa famille à quitter Lallaing d'abord pour l'Avesnois à Wargnies-le-Grand où il fut directeur de l'école pour enfin rejoindre la Haute-Savoie, Sallanches puis Morzine dont il fut directeur d'école jusqu'à sa retraite en 2008 et 1er Adjoint au maire.



Il sera inhumé à Morzine auprès de sa fille Gaëlle et de son fils Anthony. 



Ancien de la 66/71, et de la Terminale A (sur la photo de classe ; avant dernier à droite, rang du haut), il pensait pouvoir venir en 2016 pour le 50 ème anniversaire de notre entrée à l'ENG...


Avec son épouse Marie-France en juillet 2015 à qui nous exprimons notre compassion attristée



VOICI LE FUNÉRAIRE PARU DANS LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ DU 3 DÉCEMBRE 2015



Des hommages nous parviennent :



"Bonjour à tous
Je viens d'apprendre le décès de Marc avec infiniment de tristesse.
J'adresse à toute la famille mes sincères condoléances.
Je me souviens très bien de Marc. J'étais très impressionné à l'époque  de ses talents de pianiste. Si mes souvenirs sont bons, il me semble qu'il s'était marié jeune, en FP je crois...!
Jean-Paul pourra peut-être me le confirmer.
C'est une triste nouvelle, en effet, encore une....
Son parcours fut exemplaire, lui aussi et... la vie ne l'aura guère épargné !

Amités à tous, prenez soin de vous !"
Jean-Alain Cornil, promo 66/71

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Hommage a Marc Boudzy : J'ai préparé l'entrée à l'EN en 65/66 , c'est vous dire si sa disparition m'a affecté ! Nous avons même correspondu en 2009 . Je voudrais exprimer toutes mes condoléances à ses proches .
Bernard Godfroy (66-71)

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Toutes nos condoléances à la famille de Marc, avec nos meilleurs souvenirs de Lallaing. Nous nous associons à la peine liée à la perte d'un homme de convictions convaincu qu'il fallait agir pour aider les autres.
Marcel Vallez (sur la page Facebook)

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Effectivement bien "triste nouvelle". Beaucoup de souvenirs du bon vieux temps de l'E.N.G. se bousculent dans mon esprit. Je compatis de tout coeur avec sa famille en cette circonstance. Sincères condoléances et amicales pensées à vous. 
Michel Augustyniak promo 66/71

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Toutes mes condoléances à vous tous. J’avais connu Marc au collège Jules Ferry d’Anzin en 4ème. Que des bons souvenirs… Bien amicalement et avec notre soutien, 
Jean Pierre (66-71) et Nadine Bielen




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