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mercredi 2 octobre 2024

Émile HURTEAU, promo 50 54, a rangé définitivement sa clarinette..

 BRUILLE LEZ MARCHIENNES

Raymonde (✞) PETIT-HURTEAU,
Sa fille;
Laure et Frédéric ARNOULD-GOETGHEBEUR,
Mathis,
Arnaud GOETGHEBEUR et Alicia,
Lola, Lohan, Lissian,
Ses petits-enfants et arrière-petits-enfants;

Ses neveux, nièces, cousins, cousines,
Anne-Marie CLEMENT,
Ses auxiliaires de vie de DESTIA,
Le Docteur KARAR,
Frédéric, son infirmier,
Ses amis proches,
Jean-Jacques CANDELIER, Maire de Bruille-lez-Marchiennes
Ses amis musiciens,
Le Personnel du Service de Gériatrie du Centre Hospitalier de Douai

ont la douleur de vous faire part de la perte sensible
qu’ils viennent d’éprouver en la personne de

Monsieur Emile HURTEAU

veuf de Madame Romaine BOGAERT
Clarinetiste du Tea For Tow Big Bang
Retraité de l’éducation Nationale
Membre du T.F.T et de la Chorale de Bruille

décédé le 25 Septembre 2024 à l'âge de 90 ans.

Les funérailles religieuses auront lieu
le Samedi 28 Septembre 2024 à 10 heures 30
en l’église Saint Samson de Bruille-lez-Marchiennes.


L’inhumation aura lieu dans le caveau de famille au cimetière de Bruille lez Marchiennes

Réunion à l’église à 10 heures 15.

L’offrande tiendra lieu de condoléances.

Miséricordieux Jésus donne lui le repos éternel !

Dans l’attente des funérailles, Emile repose
au salon funéraire de Pecquencourt.
6, rue d’Estienne d’Orves - Place du Bicentenaire de la Révolution.
Visites Jeudi et Vendredi de 16 heures à 18 heures.


LE MAIRE DE BRUILLE-LEZ-MARCHIENNES LUI A RENDU HOMMAGE


Émile avait coutume d'amener sa clarinette pour animer les banquets de l'amicale normalienne dans les années 2000 comme on peut le voir sur cet extrait du bulletin de 2007 :




"Nous eûmes pour notre plus grand plaisir, droit cette année encore au moment musical de notre ami Émile HURTEAU qui nous régala en interprétant des succès de toujours : les Roses de Picardie, les Feuilles Mortes. " Claude Jouet (promo 51-53)







jeudi 19 octobre 2017

JACQUES COLPART, NOTRE AMI, S'EN EST ALLÉ

Hommage à Jacques Colpart

Jacques Colpart, membre du conseil d’Administration des anciens élèves de l’école normale de Douai, promotion 50 52, nous a quittés en mai 2017. Quelques mois plus tôt, ils nous régalait encore par le biais du bulletin numéro 115 avec l’historique de la masse, prélèvement annuel géré par la coopérative de l’ENG, et sur l’issue de péripéties assez rocambolesques face à l’intendant de l’époque et arbitrées par le directeur, Monsieur Hickel.
Premier rang de gauche à droite :
Bécu Michel, Lanciaux Jean, Colpart Jacques, Monsieur Briquet , Monsieur Hickel , Méquinion Jacques, Petit, Delcroix Pierre
Deuxième rang :
Dujardin Jean, Basuyaux, Carrez Jean-Marie, Gillot Léon, Pocquet Roland, Bacquart Jean, Doutrehaut Maurice
Troisième rang :
Vardon Henri, Baille Lyon, Reynaert Alexandre, Breton Gilbert, Vananderbeck Norbert, Villain Marcel.

Madame Colpart a eu l’amabilité de me recevoir alors que je revenais du c.a. de la rentrée du 4 octobre dernier, séance au cours de laquelle nous nous sommes recueillis à sa mémoire. Elle n’avait pas encore touché aux nombreux documents réunis dans son bureau et m’a permis de rassembler entre autres les informations qui suivent, assorties de la photo de promo et d’un cliché où Jacques figure au milieu d’une classe algérienne en 1956.



En effet, après 18 mois de service militaire en Allemagne et à peine libéré, Jack a fait partie des « pistonnés » rappelés peu après, direction l’Algérie.
Souvenons-nous à ce propos de notre prof d’éducation physique et sportive, Monsieur Monnard, qui avait subi le même sort, à la même époque.
À la suite de plusieurs nominations à Lille, Ostricourt, Auby, Jacques se voit affecter à l’école Painlevé de Douai, école d’application dont pas mal d’anciens se souviennent. Sans omettre un interlude de deux années passées à enseigner au centre pénitentiaire de Douai.
Il fait aussi partie des anciens du tribunal pour enfants de DOUAI, de 1965 à 1988, date de son départ à la retraite. Sa carrière se termine alors qu’il exerce comme conseiller pédagogique, période pendant laquelle il s’efforce d’arranger au mieux les emplois du temps des jeunes extérieurs au département.
Ses interventions, aussi inattendues qu’amusantes, ses calembours et jeux de mots, au cours du c.a. des anciens, permettaient une récréation au milieu de certains débats pas toujours amusants.
Jacques, merci pour tout. Qui pourra te remplacer ?


Michel Wencel, promotion 54 58

jeudi 15 octobre 2015

OÙ L'ON VOIT LES PÉRILS QU'IL Y A DE SERVIR DE TRADUCTEUR QUAND ON Y EST MAL PRÉPARÉ. SOUVENIRS D'UN INTERPRÈTE IMPROVISÉ...

Voyage en Italie (1954)
Souvenirs d'un interprète.


Je viens de relire le bulletin de l'amicale numéro 14 daté du mois d'octobre 1954.
André Parisis y fait le récit du voyage de fin d'étude de promotion 50–54 et 52-54 (FP2)
En 60 ans, bien des détails se sont estompés mais quand l'auteur écrit : «… profitons de la circonstance pour remercier notre interprète qui nous fut d'un grand secours » des souvenirs précis ressurgissent car l'interprète, c'était moi !
Je désire conter ici quelques anecdotes et expliquer comment un élève maître qui, à la mi-juin, ne connaît pas d'autres mots italiens que macaroni ou spaghetti…, se voit, quelques semaines plus tard, désigné comme interprète pour le groupe en Italie.
Aux environs de la mi-juin, les deux promotions rassemblées dans l'amphithéâtre avaient écouté, en silence, les résultats du CFEN et le classement final lus par notre directeur, Monsieur Hickel, que nous appelions « pépère » entre nous. Une partie seulement des élèves devait se retrouver à la mi-juillet pour le départ en voyage. Entre ces deux dates, je m'étais astreint à trois heures d'italien par jour à l'aide d'une méthode qui n'était pas Assimil. C'était un gros volume à couverture grise. J'avais engrangé un grand nombre de mots, d'expressions, de phrases adaptées à certaines circonstances ou situations.
Cela devait me permettre, dans mon idée, de me débrouiller pour des achats mais pas de tenir une conversation.
De retour à l'E.N. pour le départ, je m'adressai à mes camarades en italien je voulus faire le malin. J'allais le regretter.

Nous nous installons dans l'autocar. À l'avant, se trouvent Monsieur Hickel  et Madame, Monsieur Viseux, intendant, sa femme et sa fille. Notre directeur annonce qu'il a entendu à la radio un événement heureux concernant la guerre d'Indochine. J'ai oublié quoi exactement, probablement la signature prochaine d'accords.
On se réjouit. Puis, tout de go, Monsieur Hickel déclare : « voyez comme nous remplissons le car à fond ! » Surprise. Il ne nous avait pas habitués aux calembours lors des cours de législation et morale professionnelle. Quelqu'un, derrière, se croit obligé d'ajouter : « oui, mais si le car pète ? »
Monsieur Hickel ne relève pas cet à peu près et demande : « Y a-t-il quelqu'un qui parle italien ? »
Oui, disent deux camarades qui me désignent et me nomment. J'ai beau me récrier et faire des signes de dénégation, rien à faire : « et bien vous serez notre interprète officiel »…

Première épreuve quand nous arrivons à Milan, en fin d'après-midi, sous un soleil cuisant. Personne ne sait où se trouve notre gîte. Avisant un agent de police, tout de blanc vêtu, qui se trouve un peu plus loin au carrefour, pépère m'enjoint d'aller me renseigner. J'ai l'adresse à la main. Je m'explique, l'agent semble me comprendre mais le contraire n'est pas vrai : des phrases prononcées rapidement, beaucoup de gestes. Je crois saisir la direction à prendre, je regagne le car. Dès que l'on veut s'engager dans la direction indiquée, coups de sifflet et grands gestes. Il faut stopper et le chauffeur s'inquiète. Je redescends, l'agent n'avait pas vu - et je ne lui avais pas dit-  que j'étais en autocar.
Croyant sans doute à un incident, plusieurs piétons se sont groupés et discutent avec le policier. Suspense ! L'un d'entre eux me fait comprendre que les rues sont trop étroites pour un autocar, qu'il va nous accompagner et indiquer un chemin possible. Ouf ! Tout en roulant, j'apprends qu'il est boxeur et qu'il a un combat le soir même. Je le remercie et lui souhaite bonne chance.
Deuxième épreuve dans une autre ville, j'ai oublié laquelle. Nous allons loger dans un collège d'apparence religieuse. Monsieur HickelViseux, moi et mon petit dictionnaire allons rencontrer le responsable. Tout se passe bien. Au moment où le directeur du collège nous raccompagne, il pose soudain une question : « Avete lenzuoli ? » Monsieur Viseux me demande ce qu'il dit. Je reste coi car je réfléchis . Ce mot, je l'ai vu mais où, à propos de quoi ? Bon sang, mais c'est bien sûr, « lenzuoli » à rapprocher de linceul, ce sont les draps de lit. Sauvé ! Oui, chacun a des draps dans son bagage, ceux de l'E.N. peut-être.

La dernière épreuve dont j'ai le souvenir est plutôt cocasse. 
À Côme, nous logeons dans une auberge de jeunesse. On s'installe. Il manque des places. Nous voilà repartis à la recherche du père  aubergiste. Pour comprendre, il faut savoir que deux en italien s'écrit "due" mais se prononce "doué". Il manque justement deux lits. Le père aubergiste veut une confirmation : "quanti, due» ? (Combien, deux  ?) Je confirme "Si, due" (Oui, deux). C'est alors que Monsieur Hickel croyant probablement me venir en aide s'écrie : « oui, oui, Douai, École Normale de Douai !". Je suis mort de rire intérieurement mais je ne dis rien, je raconterai plus tard aux autres ce quiproquo.
Le voyage se poursuit par l'Autriche et l'Allemagne. Je me garde bien de dire que j'ai fait deux ans d'allemand. J'ai oublié également si Robert Delporte que nous appelions tantôt Sigmund, tantôt Siegfried, était du voyage. C'était le seul germaniste de la « A » et peut-être de la promotion. Je pense que pépère  pratiquait bien la langue de Goethe. C'était il y a 60 ans, c'était hier ! Aujourd'hui je pense souvent à mes camarades disparus. Je salue amicalement tous ceux qui, comme moi ont la chance d'être encore de ce monde et qui auront l'occasion de me lire.
Été 1954. Voyage de fin d'études. Devant le lac de Côme (Italie).
De G. à D. : Jack Guillemin, Roger Elleboode (✞), Lucien Delille, Jacques Deraime 
(✞)
Octobre 2014

Jack Guillemin (promotion 50 54)

vendredi 5 juillet 2013

TERMINALE MATH-ÉLÉM 53-54 PAR RENÉ ROUSSEL

Voici maintenant 6 photos de la fin de l'année scolaire 53-54. transmises par René Roussel


   une partie des garçons dans le parc de l'époque autour d'un feu de papier!
l'ensemble de la classe avec M Beuchey devant notre salle de classe.


c'est toujours la classe avec Melle Valsemey toute jeune professeur d'Anglais et le professeur d'Histoire Géographie qui devait être (je suis un peu moins sûr) M Leleu.

MM Beuchey et Locqueneux (celui-ci avait 28 ans) . J'ai retrouvé ses coordonnées sur la liste des membres de l'Amicale.

c'est M Beuchey je sais maintenant qu'il avait 34 ans . Il est décédé, je crois en 1996.
Cette photo regroupe presque toute la classe (2 absentes) dans le parc autour de Monsieur Beuchey, professeur de Math, en blouse blanche et Monsieur Locqueneux (en veste) professeur de Physique.



POST SCRIPTUM :
Je suis à l'avance très heureux de voir ces photos publiées. Je n'ai malheureusement trouvé qu'un seul garçon de cette classe sur la liste des membres .
Une dernière question : il y a bien aussi une amicale des normaliennes ? (1)
J'ai maintenant épuisé mes richesses !!

Avec tous mes remerciements et de très cordiales salutations.      René Roussel

(1) EH OUI, CHER RENÉ, IL Y A BIEN UNE AMICALE DES NORMALIENNES, LESQUELLES SE JOIGNENT À NOUS LORS DES BANQUETS ANNUELS EN AVRIL DANS LA SALLE VOISINE DE LA NÔTRE, MAIS QUI GARDENT JUSQU'ALORS LEUR  INDÉPENDANCE POUR CE QUI EST DE L'ORGANISATION ... (ndlr)


(On pourra également se reporter au premier envoi de René Roussel
où sont regroupées 2 photos, l'une de la classe entière de Math élém de 53-54 autour de Monsieur Hickel, Directeur de l'EN de Garçons



vendredi 21 juin 2013

MATH ÉLEM 1953-54 PAR RENÉ ROUSSEL 100% DE RÉUSSITE AU BAC, QUI DIT MIEUX ?


PREMIÈRE PHOTO : "Math Elem 1953-54"
Au Centre  1° rang, Monsieur Hickel Directeur de l'EN de Garçons.

1° rang  Filles, de gauche à droite:
Nelly Dalibert, Evelyne Grandval, Gaby Flouret, Suzanne Douillet, Thérèse Maldi, Françoise Longatte, 
Josette Macrez, Micheline Druart.

2° rang  Garçons et Filles de gauche à droite:
Gérard Danquigny, Yves Caffin, Georges Pruvot, Michel Evrard, Michel Lecouvreur, Jeanine Hénon,
Georgette Lux, Jacqueline Thérey, Jeanne Duminil, Nicole Potelle, R Roffidal, Pierre Pruvot, 
Claude Bourgeois, Jean-Pierre Lejeune, Marcel Ruytoor.

3° rang  Garçons de gauche à droite:
Pierre Lamothe, Georges Bayen, Jean Fourez, Jacques Queval, René Roussel, Lucien Sellier, Michel Leprêtre,
Claude Paris, Guy Paput, Jean Dewaele, Gérard Gillet, André Delbey, Jacques Carlier.Equipe de Basket Juniors 1954, Championne d'Académie.
Pour vous j'ajouterai mon commentaire : superbe Classe, 13 filles + 23 garçons  = 36 succès au Bac en juillet... 
Curiosité marginale : j'aimerais pouvoir comparer avec les années voisines : difficile !!

DEUXIÈME PHOTO : La qualité n'est pas du tout la même, c'est la définition la plus faible qui donne l'image la plus acceptable, c'est une coupure de la Voix du Nord . 

Quelques noms:
1° rang, accroupis: Jean-Pierre Maréchal, André Parent (2° et 3°)
2° rang, debouts:  Guy Drubay, x Stiévenart, René Roussel (2°, 3° et 4° )

Si cela vous convient , vous pouvez lui associer la légende suivante :
"Finale d'Académie Basket Juniors 1954, Victoire des Normaliens"

lundi 17 juin 2013

PASSAGE ÉCLAIR À L'ENG DE DOUAI, SOUVENIR INOUBLIABLE... UNE LETTRE DE DE RENÉ ROUSSEL

Un camarade de l'EN d'Amiens que j'ai rencontré, il y a moins d'un mois au regroupement annuel , René Guilmot, qui a été prof à l'EN de Douai, m'a transmis les liens Internet avec l'Amicale des Anciens de l'EN de Douai.
J'ai, après 2 ans à Amiens, passé une année à l'EN de Douai en classe de Math Elem (1953-54) dont je garde des souvenirs qui en font la meilleure année de mes 8 années d'étude à partir de la classe de seconde ( à cause de l'atmosphère qui régnait dans la classe, dans l'EN et grâce aux 2 professeurs principaux qui étaient M Beuchey en Math et M Locqueneux en Physique ). J'ai continué mes études en classe prépa au Lycée Faidherbe à Lille puis à l'ENSET devenue ENS de Cachan). Je ne suis donc pas un normalien de Douai au sens strict mais si vous m'acceptez, je serai prêt à faire partie de votre association , à en recevoir les informations et éventuellement à participer à vos manifestations . J'ai lu avec attention toute l'information présente sur vos sites et en particulier me suis aperçu que j'avais assez bien connu les camarades Drubay , Maréchal et François qui étaient en 4° année avec André Parent (longtemps maire d 'Anzin, avec qui j'ai partagé une longue amitié et qui nous a quittés il y quelques mois)     et qui vous envoient une lettre. J'ai participé avec eux sous la direction de Jean Joly à l'équipe junior de basket , championne d'académie en 1954.

Avec le professorat d'ENSAM de Physique Electricité (devenu aussitôt mon admission agreg de physique appliquée) j'ai fait toute ma carrière à l'ENSAIS, école d'ingénieurs type ENSAM à Strasbourg- devenue maintenant INSA- et je suis resté en Alsace . En espérant que vous voudrez bien m'accepter et me faire parvenir les renseignements correspondants (cotisation, renseignements nécessaires... je vous prie de croire à toute ma sympathie. 
René Roussel

jeudi 30 mai 2013

LETTRE DE GUY DRUBAY (50-54) POUR UN SUPER JUBILÉ EN 2014 DE SA PROMO, UN JOLI CLIN D'OEIL EN CHTIMI D'UN SAVOYARD D'ADOPTION

POUR CEUX QUI PRÉFÈRENT L'ORIGINAL À LA COPIE
Venthon, le 1er avril,
(ça n'est pas un pisson d'avril)

I nous est v´nu à l'idée à euń pair ed´ nous autr ´ que l'année prochaine en 2014, y aura 60 ans que l'promotion 50-54 aura quitté l'EN.
Est-ce que vous n'pourrot´pas programmer quet´ cose, par exemple pour l'assemblée générale et l' banquet, pour qu' les survivants puissent s'artrouver et s'raconter sûrement beaucop d'affaires, canter eune paire ed´canchons, raconter des histoires du Zef Cafougnette, etc...
Cha nous frot grint plaisir et je pinse qué pou ´ c'coup-là, je s'ro d'aplomb et prêt à faire deux fos 900 km.
Tins me au courant que je voche si je peux r ´tenir c ' te période là.

Ps1 : Dis à Jean Joly, à l'occasion du 7 avril qu'i tienn ´bon pour 2014, in s'ra eun ´paire à rigoler avec li.

PS 2 : dis-li  aussi que je l'invite à séjourner quelques jours à m' maison : j'ai d'quo l' loger li et s' femme (ché grind ichi) et l'Savoie est belle à vir !
Et j's'rai disponible entre le 14 juillet et le 15 août 2013

René FRANÇOIS, promo 50-54

Jean-Pierre MARÉCHAL, promo 50-54