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dimanche 8 décembre 2013

JEAN HAREMZA S'EST FIXÉ À BLOIS EN VENDÔMOIS, POUR EN ÉCRIRE L'HISTOIRE COMME EN TÉMOIGNE CET ÉCHO DU BULLETIN DES ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES DE 2008, QU'IL A RÉDIGÉ PEU AVANT SA DISPARITION "Quand je suis vingt ou trente mois Sans retourner en Vendômois", RONSARD


Écoles normales supérieures


                               Bulletin 2008-1 de l'Association des élèves et anciens élèves Lyon, Fontenay-aux-Roses, Saint-Cloud.
Compte rendu de 
Jean HAREMZA (Lettres Saint-Cloud 1947 et Inspecteurs Saint-Cloud 1955).
Extrait :

   
En 1984, les Éditions Privat ont publié une "Histoire de Vendôme et du Vendômois" sous la direction de Paul Wagret. Deux co-auteurs, Loisel et Vassort, ont pensé donner un successeur à ce livre depuis longtemps introuvable. Ils ont pu réunir une quinzaine de spécialistes (historiens, préhistoriens, géologues et archéologues). 





  La continuité entre les deux ouvrages repose sur trois points : 1) la solidité de l'information historique ; 2) le souci d'une vulgarisation de bon niveau, mettant le texte à la portée d'un large public ; 3) l'exigence d'une synthèse claire et harmonisée, dans le respect de la personnalité des auteurs. Les nouveautés essentielles sont : 
a) la mise à jour des connaissances, intégrant les nombreuses recherches menées depuis plus de deux décennies ; 
b) une iconographie considérablement enrichie (400 documents traités en couleur), voulue comme contribution à la fois démonstrative et esthétique ; c) 27 "doubles pages", donnant un effet de "zoom" sur un fait, un personnage ou un lieu.
   [...] J'ai ce superbe volume entre les mains : c'est un chef-d'oeuvre ! Bel objet : on réunit rarement une couverture, des illustrations (400 documents en quadrichromie) de cette qualité [...].
   Parmi tous ces spécialistes, pour la plupart vivant dans la région ou y ayant des attaches, citons au moins le géologue
Henri-Jean Soudet, qui a réalisé pour la circonstance une nouvelle carte géologique du Vendômois, appelée à faire référence. Pour ma part, je tiens à y ajouter des auteurs de "doubles pages" : François Lebrun, professeur émérite d'histoire, Université de Rennes II et l'archéologue Claude Leymarios (fouilles du château de Fréteval). Il faudra sans doute attendre un nouveau quart de siècle avant que des chercheurs reprennent le collier sur le même thème !
   Une nouvelle phase heureuse semble s'ouvrir pour l'histoire régionale [...].
JEAN HAREMZA

   Peu de temps après avoir écrit ce texte — peut-être le dernier paru sous sa signature — Jean Haremza nous a quittés aussi discrètement que brutalement. La perte est considérable pour les siens et ses nombreux amis, mais au-delà pour tous ceux qui sont attachés à la culture en Loir-et-Cher.


EN SA MÉMOIRE, NOUS REPRODUISONS CI-DESSOUS CE MAGNIFIQUE POÈME DE RONSARD QUI PARLE À NOS COEURS NOSTALGIQUES : 


Pierre de RONSARD   (1524-1585)

Quand je suis vingt ou trente mois

Quand je suis vingt ou trente mois 
Sans retourner en Vendômois,
Plein de pensées vagabondes,
Plein d'un remords et d'un souci,
Aux rochers je me plains ainsi,
Aux bois, aux antres et aux ondes.

Rochers, bien que soyez âgés
De trois mil ans, vous ne changez 
Jamais ni d'état ni de forme ;
Mais toujours ma jeunesse fuit,
Et la vieillesse qui me suit,
De jeune en vieillard me transforme.

Bois, bien que perdiez tous les ans
En l'hiver vos cheveux plaisants,
L'an d'après qui se renouvelle,
Renouvelle aussi votre chef ;
Mais le mien ne peut derechef
R'avoir sa perruque nouvelle.

Antres, je me suis vu chez vous
Avoir jadis verts les genoux,
Le corps habile, et la main bonne ;
Mais ores j'ai le corps plus dur,
Et les genoux, que n'est le mur
Qui froidement vous environne.

Ondes, sans fin vous promenez
Et vous menez et ramenez
Vos flots d'un cours qui ne séjourne ;
Et moi sans faire long séjour
Je m'en vais, de nuit et de jour,
Au lieu d'où plus on ne retourne.

Si est-ce que je ne voudrois
Avoir été rocher ou bois
Pour avoir la peau plus épaisse,
Et vaincre le temps emplumé ;
Car ainsi dur je n'eusse aimé
Toi qui m'as fait vieillir, Maîtresse.

samedi 7 décembre 2013

JEAN HAREMZA, INLASSABLE DÉFENSEUR DES ÉCOLES NORMALES PUIS DES IUFM COMME EN TÉMOIGNE CETTE LETTRE OUVERTE DE 2007 AU MINISTRE DARCOS QUE NOUS RÉVÈLE PAUL MAJOWSKI

questions en débat
QUELS FORMATEURS
POUR UNE BONNE FORMATION DES MAITRES ?
Notre collègue Jean S. HAREMZA, ancien directeur d’école normale a souhaité s’exprimer dans les colonnes de la revue du SIA sur la réforme des IUFM. Il adresse une lettre ouverte à notre Ministre et celui-ci lui a répondu (cf. page suivante).

En 1990, alors que je prenais ma retraite, une loi mal venue supprimait notre École Normale et lui substituait,
dans les mêmes murs, un établissement dépendant de l'IUFM d'Orléans-Tours. On me rappelle, et pas seulement en Loir-et-Cher, que j'avais été le dernier Directeur d'une maison qui, pendant 156 années, avait formé les institutrices et les instituteurs du département (mais aussi un Haut Commissaire du C.E.A.  Et quelques Inspecteurs d'Académie, Inspecteurs départementaux, Directeurs d'E.N. ou professeurs de Faculté). Elle avait donc très solidement rempli sa mission.Voici que les IUFM disparaissent à leur tour ...C'est à cette occasion que j'adresse une lettre ouverte à Xavier DARCOS.

QUELLE EST MA MOTIVATION ?

On me connaît pour mon expertise dans le champ de la formation des maîtres (plus de quarante années de
pratique et, en outre, ma longue activité nationale dans les syndicats concernés par la question primordiale
de l'éducation de base). Pour être précis, après mes années d'École Normale Supérieure, vingt ans comme professeur, puis vingt ans comme chef d'établissement. Donc, depuis 1958, rencontres avec tous les Ministres de l'Éducation Nationale, ou encore correspondance sur tel point technique après ma cessation d'activité.

POUR BIEN FORMER LES MAÎTRES, REMARQUES ET PROPOSITIONS

Monsieur le Ministre,

Ce 31 mai, pour justifier l'existence de deux Ministères, vous avez dit qu'il y avait un monde entre celui des Universités et la pratique quotidienne dans une école maternelle. Comme vous avez raison ! Alors que votre prédécesseur décrétait hier la suppression des IUFM (leur échec assez général n'était plus un secret, en tout cas pas dans le monde des acteurs de l'Education), je me permettrai une seule suggestion. S'il vous plaît, ne donnez pas suite à l'idée de M. de ROBIEN, qui aurait souhaité que la formation des maîtres soit tout entière sous la tutelle de l'Université et de ses professeurs. Même s'il envisageait, évidemment, des relais sur le terrain.
En opposition, je me plais à citer l'exemple de Blois, mon dernier poste dans une École Normale de taille moyenne, où il se faisait un excellent travail. Car elle avait un corps de professeurs motivés, remarquablement stable, ayant une vision citoyenne de notre mission. Ajouté à cela que la panoplie de leurs diplômes n'avait rien à envier à celle des collègues universitaires avec qui nous collaborions (anciens élèves d'ENS pour plus de la moitié, idem pour l'agrégation, voire un doctorat). On travaillait à plein temps, élargissant parfois le programme national (musique, arts plastiques, EPS, qui avaient été traités chichement au lycée et pendant la conquête de la licence, antérieurement à un concours d'entrée sélectif). Cette équipe
« professionnalisée » était facteur de réussite. Or, à la rentrée qui s'annonce, ne resteront plus que deux professeurs agrégés, en poste depuis plus de vingt ans. Comment l'Université pourrait-elle leur être substituée ? Combien d'enseignants universitaires seront tentés de quitter leur chaire, pour se mêler, par exemple, à la conduite si délicate d'une classe de maternelle ? C'est en ce début de siècle que les dégâts probables deviennent inquiétants : c'est aujourd'hui que disparaissent les derniers formateurs qui étaient les acteurs de la réussite de nos Écoles normales départementales. Entre le professeur formateur et le maître devant ses élèves, il y avait toujours un réseau de conseillers pédagogiques généralistes ou spécialisés,de maîtres et de maîtresses d'application répartis sur le territoire, de la Z.E.P. au village. En supprimant les EN, on avait eu la sagesse de maintenir ce maillage. C'est cela qui a permis aux IUFM de sauver la face pendant un temps. Personne, et surtout pas moi, ne niera l'apport précieux des universitaires lorsque, par une sage revendication syndicale, nous avions « décroché » leur participation. Les bénéficiaires ont mieux dominé leur métier lorsqu'il y a eu contact entre EN et Faculté, entre praticiens et acteurs de la « science qui se fait ». L'équilibre entre nos deux institutions était progressivement devenu très harmonieux. Les recherches des uns aidaient et, souvent, éclairaient la pratique. Par un heureux mariage.

OÙ ALLONS-NOUS ?
Le nouveau Premier Ministre m'avait naguère répondu que les indispensables mesures d'encadrement seraient prises. Plus qu'un procès discourtois, mon appel à votre vigilance veut être un témoignage de ma profonde inquiétude citoyenne. Ne pensez-vous pas, Monsieur le Ministre, que restaurer une instance départementale de formation ne serait certes pas un retour en arrière, mais une décision réaliste qui rétablirait les bases de notre école républicaine ?

Je vous assure, Monsieur le Ministre, de mon profond respect et de mon dévouement. »

Blois, le 05 le juin 2007
Jean S. HAREMZA
Chevalier de la Légion d'honneur

Commandeur des Palmes académiques
-OOO-

Post scriptum

Paul Majowski qui nous a fourni ce document réagit à sa publication avec émotion : 


PAUL MAJOWSKI (PROMO 58-62)
Grand merci pour la publication de la lettre de J. Haremza à X. Darcos. Elle prouve que l’action de Zaza allait bien au-delà de notre ENG de Douai. J’ai apprécié la photo, elle nous le montre nous scrutant avec bienveillance, un oxymore. Je le vois portant une veste de cuir, du daim sans doute, comme dans les années 50 et 60.
Je l’ai toujours vu dans cette tenue en toute saison, une manière de se démarquer du costume 3 pièces. Je rêvais d’en posséder une semblable, ce qui fut fait lorsque j’ai perçu mon premier salaire. J’étais en poste au C.E.G. de Marchiennes. La proximité de la Belgique m’a donné l’opportunité de l’acquérir à un moindre coût...
Il me reste un souvenir plus “intellectuel”. Zaza s’étant fait inspecter, il vint vers nous l’oeil tout pétillant pour nous déclarer que ça s’était bien passé. Le cours avait porté sur Pascal. Y-aurait-il eu un motif pour craindre un résultat contraire ? Les normaliens n’étaient pas dans les arcanes de l’administration, et pourtant ...
Finalement mes souvenirs sont embués de rêve, perdus dans le gouffre du temps, à la fois aussi présents et vagues que ceux des normaliens de l’époque. Zaza nous a échappé pour l’EN de Blois, nous a rendu visite au cours de l’AG de 2002. L’année 2008 nous l’a pris pour toujours. Restent dans nos mémoires une discussion sur Cinna et le thème du héros, un cours probablement sur les Pensées de Pascal, et beaucoup d’humanité.

Il fallait que je le dise ...
Paul Majowski, le 7 décembre 2013




PS  : voici la dédicace qu’il m’a aimablement laissée dans le livre “L’ECOLE NORMALE” d’Alain Vincent (Ed. Alan Sutton), auquel il avait collaboré.

dimanche 8 septembre 2013

PETIT RETOUR EN ARRIÈRE : ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 7 AVRIL 2013 À DOUAI

ASSEMBLEE GENERALE du 7 avril 2013

1. Accueil du Président
Bienvenue à toutes et à tous pour notre 64e journée annuelle de retrouvailles.
Malgré les travaux en cours et tous ceux qui sont prévus pour moderniser ce bel établissement devenu lycée d’excellence depuis 2010, nous avons toujours la chance de pouvoir revenir dans ce qui fut notre École Normale, ce qui n’est plus le cas pour nos amies de l’amicale des anciennes normaliennes que vous aurez la chance ou le bonheur de retrouver au banquet.
Espérons qu’à l’avenir nos assemblées générales trouveront toujours refuge dans ces murs oh combien chargés d’histoires. L’espoir fait vivre !
Un grand merci à M. ORY, proviseur de ce lycée, pour son hospitalité et sa bienveillance à l’égard de notre association. Retenu par ailleurs, il regrette de ne pas être des nôtres aujourd’hui.
Je me dois de vous transmettre les excuses et les souhaits d’excellente journée de personnalités retenues par d’autres engagements :
          M. Jean-Jacques POLLET, recteur de l’académie de Lille
          Mme Mireille DURAND, responsable pédagogique du site IUFM de Douai,
          M. Ludovic VAN OOST, responsable administratif et financier,
          M. Georges WOSIK, ancien responsable pédagogique du site IUFM.
Quant à M. Christian WASSENBERG, directeur académique DSDEN du Nord, il nous rejoindra à 11h15 pour l’hommage au monument aux morts et l’apéritif des retrouvailles.
Nous serons 104 au banquet dont 30 épouses ; 17 promotions seront présentes de la plus ancienne, la 42-46, à la plus jeune, la 77-79. Bravo à leurs représentants et bienvenue à leurs épouses ou compagnes qui les accompagnent.
La promotion jubilaire 59-63 n’a pas aussi bien répondu à notre appel de rassemblement, ils ne sont que 6 (5+1) ! Ont-ils été empêchés comme le fut celui qu’ils avaient choisi pour figure de proue, l’illustre écrivain Boris PASTERNAK obligé par les Soviétiques de refuser le prix Nobel de littérature en 1958 pour « Le Docteur Jivago ».
Bravo aux meilleurs rassemblements 53-57 (11), 56-60 (11), 61-65 (13), 54-58 (15) et 66-71 (19).
Vous êtes venus des quatre coins du Nord-Pas-de-Calais, des Yvelines, de l’Aude, de la Charente-Maritime, de la Meurthe-et-Moselle, des Deux-Sèvres, de la Vienne, du Tarn, de la Haute-Garonne et de l’Hérault.
Merci à tous pour avoir bravé les distances et les intempéries.
Nombreux sont ceux qui nous ont témoigné par écrit ou par courriel leur attachement à l’amicale en nous souhaitant d’excellentes retrouvailles
- Guy DRUBAY (50-54) qui salue particulièrement Jean JOLY
- André MACHUT (51-55) et Georges BAYEN (51-55) en voyage à Papeete
- Alain CANIVET (53-57)
- Joël DOISE, Marc LEMAIRE, René LIBERT, tous trois de la 54-58
- Jean BOURLET (55-59)
- Bernard COGET, Michel HARY, Jacky LESTIENNE, Jean-Luc THUILLIEZ, tous les quatre de la 61-65
- Edouard GREGOREK (66-71), toujours à TAHITI.
Pour conclure, encore merci et bravo à toutes et à tous pour votre attachement à l’amicale et pour votre participation à cet anniversaire. Nous espérons que de nombreuses et nouvelles adhésions viendront grossir notre association.
Bonne journée à toutes et à tous !


2. Vote des différents rapports :

rapport d’activités  lu par Paul MAJOWSKI, secrétaire adjoint

Depuis le 1er avril 2012, date de notre dernière assemblée générale, le conseil d’administration s’est réuni 4 fois :
             - le 23 mai 2012, bilan de la 63e AG et quelques propositions pour le bulletin
             - le 17 octobre 2012, préparation du bulletin N° 111
             - le 13 février 2013, organisation de la 64e assemblée générale du 7 avril
             - Ce matin, dès 9 h, dernière mise au point de l’assemblée et approbation du rapport d’activités et du rapport financier qui y seront présentés.
Membres du bureau et administrateurs disponibles se sont retrouvés le 27 février 2013 en la mairie de Lewarde pour assurer l’expédition de 400 exemplaires du 111e bulletin.
Notre association a participé ou a été représentée à

l’assemblée générale de la Fédération du Douaisis des Associations Laïques (FDAL) le 5 mai 2012 à Coutiches.
Notre secrétaire adjoint Paul Majowski y a été élu vice-président de la FDAL.
L’assemblée générale de la Fédération Départementale de la Ligue de l’Enseignement du Nord (FLASEN), le 25 septembre 2012 à Ronchin.
L’assemblée générale de l’AMOPA Douaisis le 17 novembre 2012 à Douai
L’assemblée générale de l’AMOPA Nord le 23 mars 2013 au Cateau-Cambrésis.
Un point presse a été organisé le 10 octobre 2012 à l’école Saint-Exupéry de Flers-en-Escrebieux pour présenter les actions de la Ligue de l'Enseignement et la journée débranchée 2011, avec projection d’un film et d’un diaporama auxquels notre ami Paul MAJOWSKI a sérieusement et intimement collaboré. La journée débranchée 2012 a eu lieu à Flers-en Escrebieux le 16 octobre. En outre Paul et André Léger participent régulièrement aux conseils d'administration de la  Ligue de l'Enseignement en Douaisis ex FDAL et de  la Ligue de l'Enseignement-Fédération du Nord ex FLASEN.

Le 11 novembre 2012, recueillement et dépôt de gerbes. M. Bufquin, représentant la Ville de Douai et le président de l'amicale ont rendu hommage à nos anciens, morts pour la France, en présence de Mme et M. Natali ancien directeur du site IUFM de Douai, de représentants du lycée d’excellence, des amicales des anciens et anciennes élèves des EN de Douai, de MM. Doisy et Gavrel, anciens directeurs des écoles Andrieu-Parent. Accueillie ensuite à l’IUFM par Mme Durand, responsable pédagogique du site, l’assistance a apprécié le traditionnel « café et goutte du Poilu » préparé par les soins de M. Van Oost, responsable financier.

Le 12 novembre, l’amicale était aussi présente à la manifestation commémorative au cours de laquelle les élèves de l’école Andrieu-Parent ont rendu hommage à nos anciens. Lecture de textes, de lettres de Poilus et plusieurs couplets de la Marseillaise ont marqué ces moments de recueillement.

Sollicités par quatre étudiantes en master 2 à l’IUFM de Douai, des membres du CA ont collaboré directement ou indirectement à la réalisation de leurs mémoires portant respectivement sur le patrimoine à l’école, l’enseignement de la morale, les années 60 à l’E.N.G., la place des parents à l’école.

Depuis 10 ans déjà nous mettons à l’honneur les promotions jubilaires dont c’est le 50e anniversaire de sortie. Cette année, sont à l’honneur les anciens de la promotion 59-63 « Boris Pasternak » et les FP de la 61-63. Certes, ce n’est pas encore cette année que le record sera battu : ils ne sont que 5 ! Bienvenue au sein de l’amicale en espérant qu’ils feront des « petits » l’année prochaine ;

Depuis le dernier bulletin nous avons appris les décès de :
- Marcel Warembourg (52-54) en mai 2011
- André Van Waelscappel (51-53) le 12 décembre 2012
- Jacques Bauwens (51-55) le 19 février 2013 à Cambrai
- Roger Mercier (50-54) le 17 novembre 2012
- Edouard Bridoux (59-63)  
Nous ne les oublions pas et nous adressons nos bien vives et bien sincères condoléances à leurs proches. Rendons leur hommage en observant 1 mn de silence.
Bienvenue aux anciens qui nous ont rejoints cette année : nous avons enregistré 11 nouvelles adhésions. 
Nous comptons sur vous toutes et tous pour faire prospérer notre association.

Remarque de Jacques Devienne (67-70) :
« Est-il possible d’indiquer le décès de Jean BACQUET, longtemps professeur de musique à l’école normale ? »
Réponse positive du président qui lui suggère de rédiger un article qui paraîtra dans le bulletin N° 112.
Autres remarques de Cnudde :
« Dans le bulletin, il devrait y avoir davantage d’articles relatifs aux anciens profs de l’EN.
J’avais envoyé un article concernant Haremza et il n’a pas été publié, pourquoi ?
Enfin, comment s’organise le choix des articles à paraître ? »
Réponse du président : 
« Le CA du 13 février a décidé de faire paraître cet article dans le prochain bulletin. »
Autres remarques d’André LÉGER et de Jean-Marie Devaux :
« Il est utile de rappeler le rôle d’ascenseur social de l’EN ainsi que l’identité de personnalités qui sont passées par l’EN de Douai.
Quant au CA, il a bien travaillé. En plus du site de l’amicale il serait intéressant d’ajouter un blog qui permettrait de communiquer davantage et d’augmenter les échanges entre les différentes promotions.
A titre personnel, j’ai également créé une page facebook qui m’a permis de retrouver 5 camarades ! »
Intervention de Paul Majowski :
« La création d’un blog demande la constitution d’une équipe et la désignation d’une personne attitrée pour le mettre à jour… »
Dernière remarque :
Est-il possible de mettre à jour la liste des membres du CA avec leur adresse ? (meilleure communication )
Réponse du secrétaire : Cela sera fait lors de la prochaine mise à jour.
Soumis au vote de l’assemblée le rapport est adopté à l’unanimité.

rapport financier
Lecture et commentaire de ce rapport par Alain CARRÉ, trésorier.

Une seule remarque pour souligner que, compte tenu de cette très bonne situation financière, on pourrait envisager une cotisation réduite à 10€.
Réponse du trésorier adjoint qui précise que la seule impression du bulletin et son expédition reviennent à plus de 8 €.
Proposition rejetée !
Sans autre remarque, le rapport est adopté à l’unanimité.
Le président adresse ses félicitations aux trésorier et trésorier adjoint pour ce « travail de précision ».
3. Postes à pourvoir au CA :

2 postes sont à renouveler, ceux d’André Léger et de Michel Radouan.
Ils ont tous les deux donné leur accord pour renouveler leur candidature lors de l’AG.
Ces deux candidatures sont soumises au vote de l’assemblée et sont acceptées à l’unanimité.
André Léger et Michel Radouan sont donc reconduits pour 6 ans au poste d’administrateur.

2 postes sont à officialiser :
Après l’assemblée générale 2012, deux anciens se sont déclarés candidats au CA de l’amicale. Il s’agit de Gérard VIENNE (55-59) et de Jean LEDOUX (56-59) qui ont été cooptés lors du conseil d’administration du 23 mai 2012.
Ces candidatures sont soumises au vote de l’assemblée qui officialise à l’unanimité l’élection de Gérard Vienne et de Jean Ledoux au poste d’administrateur du CA  pour une période de 6 ans.
Le CA compte désormais 18 administrateurs comme le prévoient nos statuts.

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4. Questions diverses  :
Le président remercie le trésorier et le trésorier adjoint pour leur travail remarquable.
Une voix s’élève de l’assemblée pour proposer d’adresser les mêmes remerciements au président !
Le président rappelle que tout amicaliste peut envoyer des articles pour le bulletin.
Alain Carré, trésorier, termine en ajoutant que la bonne santé de la trésorerie permettra cette année de verser un kir royal comme apéritif !
Le président clôt la réunion et invite l’assemblée à se rendre au monument aux morts.
           

Le secrétaire :  Didier DELÉCOLLE